J'ai souffert de dépression avec troubles de l'humeur pendant 15 ans accompagnée d'épisodes de paranoia, j'ai eu des traitements plus ou moins long pendant cette période type prozac, xanax, je tiens a préciser que j'ai développé ces symptômes a 23 ans suite a une enfance chaotique, et que je suis allée directement prendre rendez-vous avec une psychologue dans un cmp, j'ai...lire la suite toujours été suivie en psychothérapie. En 2013, je me suis séparée de mon conjoint, car de par cette relation je ressentais un profond mal-être, il voulait me contrôler tout le temps, celui-ci, pour se venger de la rupture, a commencé a me harceler ma famille et moi , nous avons porter plainte en tout une quinzaine de fois, il y a eu des faits très graves. Suite a cela, j'ai littéralement explosée en 2014, un jour de Septembre, au lieu d'aller travailler comme d'habitude, j'ai fais une fugue, j'ai passé la nuit dehors et j'ai tenté d'en finir avec tout ça...heureusement cela n'a pas marché et le lendemain, dans un accès de lucidité, j'ai pensé a mon fils qui avait, a l'époque 10 ans, et je suis rentrée, toute ma famille, a part mon fils qui était à l'école, était là et me cherchait partout a l'aide des services de police. ma famille a appelé une ambulance et je suis restée 3 jours aux urgences psychiatriques, on m'a proposé de rester quelques mois a l’hôpital, j'ai refusé car j'ai eu peur de perdre le lien avec mon fils avec qui on était très proches et c'était très important pour moi de continuer mon rôle de maman . Je suis restée en arrêt de travail pendant quelques mois, j'ai demandé un licenciement a l'amiable en Février 2015 a mon employeur qui a accepté je ne pouvais pas rester dans cette entreprise car mon ex-conjoint y travaille toujours. En Mai 2015, j'ai retrouvé du travail, ma psychiatre m'a mise sous Séroplex et Abilify, mon fils a été suivi par une psychologue pendant deux ans, car quand j'ai fais ma fugue, son père a eu peur et dans un souci de protection a récupérer la garde de notre fils mais celui-ci l'a mal vécu car il souhaitait rester avec moi. et pour qu'il n'emmagasine pas de la colère, j'ai préféré le faire suivre. Je tiens a préciser que le père de mon fils n'est pas la personne qui nous a harcelé. Sous Séroplex et Abilify, j'ai pris 20 kg, j'étais somnolente et au début je ne captais pas grand chose. Avec le temps et les années, j'ai pu me construire une vie saine et normale, j'ai pu arrêter mes traitements de manière suivie et progressive en 2019, au jour d'aujourd'hui, tout ça est loin derrière moi et je me sens guérie, je suis heureuse,mon fils est heureux et équilibré, j'ai retrouvé un homme qui m'apporte la sérénité dans mon foyer. C'est important pour moi de témoigner car je sais que beaucoup de personnes souffrent, ne perdez jamais espoir, concentrez vous sur ce qui vous apporte du positif, même si c est un peu, car au bout du compte , on devient soi-même. J'ai de nouveau la garde de mon fils, et je suis fière de moi car je sais que c'est une victoire contre la maladie. On me dit souvent que je suis une personne très combative, Séroplex et Abilify, dans mon cas, m'ont aidé a aller de l'avant car ça m'a permis de me concentrer uniquement sur ce qui était important et pas sur des choses négatives et destructrices. Je suis toujours suivie par ma psychiatre une fois par mois pour l'instant, et avec le temps, les rendez-vous s'espaceront. Merci de m'avoir lue et je souhaite de tout coeur que cela pourra vous aider. J'ai souffert de dépression avec troubles de l'humeur pendant 15 ans accompagnée d'épisodes de paranoia, j'ai eu des traitements plus ou moins long pendant cette période type prozac, xanax, je tiens a préciser que j'ai développé ces symptômes a 23 ans suite a une enfance chaotique, et que je suis allée directement prendre rendez-vous avec une psychologue dans un cmp, j'ai toujours été suivie en psychothérapie. En 2013, je me suis séparée de mon conjoint, car de par cette relation je ressentais un profond mal-être, il voulait me contrôler tout le temps, celui-ci, pour se venger de la rupture, a commencé a me harceler ma famille et moi , nous avons porter plainte en tout une quinzaine de fois, il y a eu des faits très graves. Suite a cela, j'ai littéralement explosée en 2014, un jour de Septembre, au lieu d'aller travailler comme d'habitude, j'ai fais une fugue, j'ai passé la nuit dehors et j'ai tenté d'en finir avec tout ça...heureusement cela n'a pas marché et le lendemain, dans un accès de lucidité, j'ai pensé a mon fils qui avait, a l'époque 10 ans, et je suis rentrée, toute ma famille, a part mon fils qui était à l'école, était là et me cherchait partout a l'aide des services de police. ma famille a appelé une ambulance et je suis restée 3 jours aux urgences psychiatriques, on m'a proposé de rester quelques mois a l’hôpital, j'ai refusé car j'ai eu peur de perdre le lien avec mon fils avec qui on était très proches et c'était très important pour moi de continuer mon rôle de maman . Je suis restée en arrêt de travail pendant quelques mois, j'ai demandé un licenciement a l'amiable en Février 2015 a mon employeur qui a accepté je ne pouvais pas rester dans cette entreprise car mon ex-conjoint y travaille toujours. En Mai 2015, j'ai retrouvé du travail, ma psychiatre m'a mise sous Séroplex et Abilify, mon fils a été suivi par une psychologue pendant deux ans, car quand j'ai fais ma fugue, son père a eu peur et dans un souci de protection a récupérer la garde de notre fils mais celui-ci l'a mal vécu car il souhaitait rester avec moi. et pour qu'il n'emmagasine pas de la colère, j'ai préféré le faire suivre. Je tiens a préciser que le père de mon fils n'est pas la personne qui nous a harcelé. Sous Séroplex et Abilify, j'ai pris 20 kg, j'étais somnolente et au début je ne captais pas grand chose. Avec le temps et les années, j'ai pu me construire une vie saine et normale, j'ai pu arrêter mes traitements de manière suivie et progressive en 2019, au jour d'aujourd'hui, tout ça est loin derrière moi et je me sens guérie, je suis heureuse,mon fils est heureux et équilibré, j'ai retrouvé un homme qui m'apporte la sérénité dans mon foyer. C'est important pour moi de témoigner car je sais que beaucoup de personnes souffrent, ne perdez jamais espoir, concentrez vous sur ce qui vous apporte du positif, même si c est un peu, car au bout du compte , on devient soi-même. J'ai de nouveau la garde de mon fils, et je suis fière de moi car je sais que c'est une victoire contre la maladie. On me dit souvent que je suis une personne très combative, Séroplex et Abilify, dans mon cas, m'ont aidé a aller de l'avant car ça m'a permis de me concentrer uniquement sur ce qui était important et pas sur des choses négatives et destructrices. Je suis toujours suivie par ma psychiatre une fois par mois pour l'instant, et avec le temps, les rendez-vous s'espaceront. Merci de m'avoir lue et je souhaite de tout coeur que cela pourra vous aider.

Je suis tombée malade en 2002, les médecins et professeurs me disaient bipolaire, du coup ils ont essayé une multitude de psychotropes qui nagissaient pas. J'ai été diagnostiquée borderline en 2005. Mon psychiatre de ville m'a alors prescrite de l'abilify 15mg. Depuis ce jour je vais beaucoup mieux du point de vue de l'humeur et des émotions, je suis moins touchée par les ...lire la suiteremarques ou observations... Mais j'ai encore de temps en temps des crises d'automutilation ou de crises suicidaires mais rien à voir avec ce que j'ai vécu avant la prescription de l'abilify, par contre j'ai pris du beaucoup de poids Je suis tombée malade en 2002, les médecins et professeurs me disaient bipolaire, du coup ils ont essayé une multitude de psychotropes qui nagissaient pas. J'ai été diagnostiquée borderline en 2005. Mon psychiatre de ville m'a alors prescrite de l'abilify 15mg. Depuis ce jour je vais beaucoup mieux du point de vue de l'humeur et des émotions, je suis moins touchée par les remarques ou observations... Mais j'ai encore de temps en temps des crises d'automutilation ou de crises suicidaires mais rien à voir avec ce que j'ai vécu avant la prescription de l'abilify, par contre j'ai pris du beaucoup de poids

D'accord avec l'avis d'en dessous, c'est une drogue qui impacte tous les muscles de mon corps, ca fait tres mal , agitement, ne tient pas en place, reveil multiples fois la nuit, lentourage ne comprend pas, a eviter absolument. Attention une fois que vous lavez pris deux semaines, impacte la vision quand on essaie de l'arreter. D'accord avec l'avis d'en dessous, c'est une drogue qui impacte tous les muscles de mon corps, ca fait tres mal , agitement, ne tient pas en place, reveil multiples fois la nuit, lentourage ne comprend pas, a eviter absolument. Attention une fois que vous lavez pris deux semaines, impacte la vision quand on essaie de l'arreter.

Abilify est un vrai poison qui devrait être INTERDIT. Très grâve : empêche la dopamine de jouer son rôle dans le corps, donc : effets parkinsonniens : impatiences, tremblements, mouvements involontaires, destructions des nerfs et des muscles ... Abilify est un vrai poison qui devrait être INTERDIT. Très grâve : empêche la dopamine de jouer son rôle dans le corps, donc : effets parkinsonniens : impatiences, tremblements, mouvements involontaires, destructions des nerfs et des muscles ...

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Après 2 ans de suivi en CMPEA et plus d'une année de prise de Solian jusqu'à la dose de 800mg m'ayant fait contracter des dystonies au pouce, traitées par Lepticur, j'ai été emmené à adopter ce soi-disant "traitement" ("soins", lol) auprès d'un nouveau psychiatre CMP. Je précise d'emblée que les raisons de la prise de ces deux traitements n'ont jamais été justifiées verbal...lire la suiteement (aucune énonciation de "psychose", "schizophrénie", "autisme", etc... ni aucune piste pour un diagnostic proposé en fait) si ce n'étaient des crises d'angoisses que je n'avais jamais eues avant le début de mon suivi et que je peux expliquer aujourd'hui par l'absence de contrôle sur ma propre vie alors que j'étais adolescent et vivant au domicile familial (ce qui est toujours le cas à 28 ans). Ce psychiatre m'a donc fait prendre de l'Abilify pendant 60 semaines entre Juin 2008 et Septembre 2009 (le fabricant de cette m****, pardon, de ce "soin", indiquant ne pas dépasser la prise à plus de 12 semaines), date où une inquiétante dystonie à la nuque (à noter que le Lepticur avait été arrêté quelques mois plus tôt) est survenue au cours d'une nuit pour durer 2 à 3 heures (cou qui se tendait tout seul vers l'avant avec une douleur insupportable causé par l'écrasement des vertèbres cervicales). Ce à quoi le psychiatre m'a posé la condition de l'arrêt de mon suivi si je refusais de continuer la prise de cette sal****ie, pardon, de ce "traitement" - ce que j'avais dédcidé au vu de la gravité des effets secondaires. Après 8 années d'errance et à l'aide d'une nouvelle psychiatre, j'ai eu accès à mes dossiers médicaux (Article L 1111 7 du Code de la Santé Publique) pour me prendre compte que le psychiatre CMP en question n'a pas noté l'épisode de la dystonie à la nuque dans ses notes ; il évoque au lieu de cela l'excuse fallacieuse d'une simple volonté de perte de poids, car l'Abilify m'avait rendu physiquement "plein à craquer" également (j'ai perdu 20kg dans les mois suivant l'arrêt de la prise, mais entre 18 et 19 ans je passais à l'âge adulte). Ce monsieur, qui me reprochait donc d'être "en dehors des réalités" dans ses notes de mon dossier médical sans jamais expliquer ce qu'il en était réellement - pour me faire passer d'office pour un menteur et un cinglé ? -, s'est donc permis d'effacer toute trace de son chantage au traitement et des effets secondaires subis par l'Abilify qui auraient pu s'aggraver en cas de continuité de la prise du ""médicament" ; également, il avait noté un "retrait autistique marqué" en Mai 2008, soit 1 mois avant le commencement de la prise du "traitement", ce dont il ne fit jamais rien à savoir que j'aurai été diagnostiqué 10 ans plus tard, dès Mai 2019, auprès d'une structure spécialisée - j'ai donc perdu des opportunités de vie importantes, n'ayant pas pu obtenir l'AAH dès mes 20 ans . (Meamedica.fr: le texte a été ramené à l'expérience médicamenteuse.) Après 2 ans de suivi en CMPEA et plus d'une année de prise de Solian jusqu'à la dose de 800mg m'ayant fait contracter des dystonies au pouce, traitées par Lepticur, j'ai été emmené à adopter ce soi-disant "traitement" ("soins", lol) auprès d'un nouveau psychiatre CMP. Je précise d'emblée que les raisons de la prise de ces deux traitements n'ont jamais été justifiées verbalement (aucune énonciation de "psychose", "schizophrénie", "autisme", etc... ni aucune piste pour un diagnostic proposé en fait) si ce n'étaient des crises d'angoisses que je n'avais jamais eues avant le début de mon suivi et que je peux expliquer aujourd'hui par l'absence de contrôle sur ma propre vie alors que j'étais adolescent et vivant au domicile familial (ce qui est toujours le cas à 28 ans). Ce psychiatre m'a donc fait prendre de l'Abilify pendant 60 semaines entre Juin 2008 et Septembre 2009 (le fabricant de cette m****, pardon, de ce "soin", indiquant ne pas dépasser la prise à plus de 12 semaines), date où une inquiétante dystonie à la nuque (à noter que le Lepticur avait été arrêté quelques mois plus tôt) est survenue au cours d'une nuit pour durer 2 à 3 heures (cou qui se tendait tout seul vers l'avant avec une douleur insupportable causé par l'écrasement des vertèbres cervicales). Ce à quoi le psychiatre m'a posé la condition de l'arrêt de mon suivi si je refusais de continuer la prise de cette sal****ie, pardon, de ce "traitement" - ce que j'avais dédcidé au vu de la gravité des effets secondaires. Après 8 années d'errance et à l'aide d'une nouvelle psychiatre, j'ai eu accès à mes dossiers médicaux (Article L 1111 7 du Code de la Santé Publique) pour me prendre compte que le psychiatre CMP en question n'a pas noté l'épisode de la dystonie à la nuque dans ses notes ; il évoque au lieu de cela l'excuse fallacieuse d'une simple volonté de perte de poids, car l'Abilify m'avait rendu physiquement "plein à craquer" également (j'ai perdu 20kg dans les mois suivant l'arrêt de la prise, mais entre 18 et 19 ans je passais à l'âge adulte). Ce monsieur, qui me reprochait donc d'être "en dehors des réalités" dans ses notes de mon dossier médical sans jamais expliquer ce qu'il en était réellement - pour me faire passer d'office pour un menteur et un cinglé ? -, s'est donc permis d'effacer toute trace de son chantage au traitement et des effets secondaires subis par l'Abilify qui auraient pu s'aggraver en cas de continuité de la prise du ""médicament" ; également, il avait noté un "retrait autistique marqué" en Mai 2008, soit 1 mois avant le commencement de la prise du "traitement", ce dont il ne fit jamais rien à savoir que j'aurai été diagnostiqué 10 ans plus tard, dès Mai 2019, auprès d'une structure spécialisée - j'ai donc perdu des opportunités de vie importantes, n'ayant pas pu obtenir l'AAH dès mes 20 ans . (Meamedica.fr: le texte a été ramené à l'expérience médicamenteuse.)

Le médecin du CMP m a obligée à être sous injection d'abilify car elle m'avait trouvée agressive, je suis en programme de soins sous contrainte. Ce médicament m'a fait prendre du ventre et mes angoisses omniprésentes. On va me mettre du xeroquel 50 en plus de l'injection car j'avais fait une chute sous xeroquel 300. Merci pour vos réactions Le médecin du CMP m a obligée à être sous injection d'abilify car elle m'avait trouvée agressive, je suis en programme de soins sous contrainte. Ce médicament m'a fait prendre du ventre et mes angoisses omniprésentes. On va me mettre du xeroquel 50 en plus de l'injection car j'avais fait une chute sous xeroquel 300. Merci pour vos réactions

prescrit à ma fille depuis 5 ans contre le harcèlement qu'elle subissait en milieu scolaire pour la protéger soit disant , sans aucune pathologie ne soit trouvé à ce jours ,ils attendent car il n'ont pas encore trouvé le nom ou inventé et il y a peut de temps on m'a clairement dit qu'ils attendaient que ma fille soit majeur car sa pathologie se déclare pile à ses 18 an...lire la suites pas avant ni à près prescrit à ma fille depuis 5 ans contre le harcèlement qu'elle subissait en milieu scolaire pour la protéger soit disant , sans aucune pathologie ne soit trouvé à ce jours ,ils attendent car il n'ont pas encore trouvé le nom ou inventé et il y a peut de temps on m'a clairement dit qu'ils attendaient que ma fille soit majeur car sa pathologie se déclare pile à ses 18 ans pas avant ni à près

Un jour une infirmière n'a pas respecté les étapes de reconstitution de la seringue indiquées sur le mode d'emploi (dilution etc..) j'ai eu des problèmes le mois qui suit. Ce kit est mal fait et ne facilite pas le travail de l'infirmière. Ce qui nous fait atterir tout droit en urgences psy! Symptômes en début de mois: tremblements parkinsonien, ralentissement de la par...lire la suiteole. Symptômes en fin de moi: sensation d'étrangeté schizophréniques. Conclusion : kit mal fait qui facilite des erreurs par l'infirmière et donc on file tout droit aux urgences. Je précise qu'avec mon ancienne infirmière qui faisait ça bien je n'ai eu aucun pb pdt 5 ans avec ce traitement à part lakathisie légère. Un jour une infirmière n'a pas respecté les étapes de reconstitution de la seringue indiquées sur le mode d'emploi (dilution etc..) j'ai eu des problèmes le mois qui suit. Ce kit est mal fait et ne facilite pas le travail de l'infirmière. Ce qui nous fait atterir tout droit en urgences psy! Symptômes en début de mois: tremblements parkinsonien, ralentissement de la parole. Symptômes en fin de moi: sensation d'étrangeté schizophréniques. Conclusion : kit mal fait qui facilite des erreurs par l'infirmière et donc on file tout droit aux urgences. Je précise qu'avec mon ancienne infirmière qui faisait ça bien je n'ai eu aucun pb pdt 5 ans avec ce traitement à part lakathisie légère.

Je pense que plus important encore que le traitement, il faut le bon psychiatre qui pose le bon diagnostic. Aux alentours de mes 17 ans, et suite à plusieurs ts suivies de crises d'angoisse et de dépression périodiques, un (mauvais bien que réputé apparemment) psychiatre m'a d'abord mis sous Temesta... Pendant 9 mois au point que sur la fin il m'était alors impossible de m...lire la suitee souvenir de mon adresse ou même de tenir une conversation sans "décrocher" voire littéralement m'endormir. Quand on sait qu'un cerveau n'est pas encore intégralement formé et blindé avant 18 ans... Les séquelles sont là encore aujourd'hui dans ma capacité mémorielle. Finalement, et étant donné que j'avais décidé de l'arrêter de mon propre chef (vive les crises de manque épouvantables...) il a changé mon traitement pour ce fameux "abilify" (nouveau médicament à l'époque selon ses dires...) Je l'ai pris 5 jours et l'ai arrêté quand ma mère a été obligée de l'appeler car je ne tenais plus debout (elle devait me donner à manger comme à un bébé, n'arrivant plus à bouger ou lever un seul membre). Ce psychiatre m'a diagnostiquée à l'époque "bipolaire avec dominance dépressive"... J'ai décidé de vivre sans traitement pendant un an : scolarité catastrophique, agoraphobie, dépressions à répétition jusqu'à ce qu'un autre psychiatre (dont j'avais lu un article dans le journal) me dise "je pense savoir quel diagnostique poser mais je vais vous envoyer chez une consœur spécialisée !" (À 150 kms tout de même...) pedopsychiatre qui m'a exceptionnellement reçue (18 ans révolu oblige) et 1h de consultation plus tard... Nouveau diagnostic : hyperactivité avec déficit d'attention ainsi que légère cyclothymie associée. Résultat, traitée par Ritaline. Enfin ! Arrêt total des crises d'angoisse et tous symptômes associé et j'ai pu passer mon bac que j'ai eu avec mention. Alors ne vous fiez pas "aveuglement" au 1er diagnostic du 1er psychiatre que vous consultez car des effets "trop" indésirables ou un médicament qui n'aide pas n'est peut-être pas du à une erreur de molécule mais peut-être le diagnostic est-il erroné... C'est parfois une piste que l'on oublie d'envisager lorsque l'on essaye un nombre incalculable de médicaments pour traiter un certaine maladie et aucun ne fonctionne ou pire encore, ils aggravent plus qu'ils ne soignent. C'est une expérience personnelle mais un autre diagnostic m'a permis d'aujourd'hui pouvoir vivre "sereinement" et le plus normalement possible... Et c'est dire que ce n'était pas gagné à un âge où on fait confiance aux psychiatre pour nous "sauver" des maux qui nous rongent !!... Je pense que plus important encore que le traitement, il faut le bon psychiatre qui pose le bon diagnostic. Aux alentours de mes 17 ans, et suite à plusieurs ts suivies de crises d'angoisse et de dépression périodiques, un (mauvais bien que réputé apparemment) psychiatre m'a d'abord mis sous Temesta... Pendant 9 mois au point que sur la fin il m'était alors impossible de me souvenir de mon adresse ou même de tenir une conversation sans "décrocher" voire littéralement m'endormir. Quand on sait qu'un cerveau n'est pas encore intégralement formé et blindé avant 18 ans... Les séquelles sont là encore aujourd'hui dans ma capacité mémorielle. Finalement, et étant donné que j'avais décidé de l'arrêter de mon propre chef (vive les crises de manque épouvantables...) il a changé mon traitement pour ce fameux "abilify" (nouveau médicament à l'époque selon ses dires...) Je l'ai pris 5 jours et l'ai arrêté quand ma mère a été obligée de l'appeler car je ne tenais plus debout (elle devait me donner à manger comme à un bébé, n'arrivant plus à bouger ou lever un seul membre). Ce psychiatre m'a diagnostiquée à l'époque "bipolaire avec dominance dépressive"... J'ai décidé de vivre sans traitement pendant un an : scolarité catastrophique, agoraphobie, dépressions à répétition jusqu'à ce qu'un autre psychiatre (dont j'avais lu un article dans le journal) me dise "je pense savoir quel diagnostique poser mais je vais vous envoyer chez une consœur spécialisée !" (À 150 kms tout de même...) pedopsychiatre qui m'a exceptionnellement reçue (18 ans révolu oblige) et 1h de consultation plus tard... Nouveau diagnostic : hyperactivité avec déficit d'attention ainsi que légère cyclothymie associée. Résultat, traitée par Ritaline. Enfin ! Arrêt total des crises d'angoisse et tous symptômes associé et j'ai pu passer mon bac que j'ai eu avec mention. Alors ne vous fiez pas "aveuglement" au 1er diagnostic du 1er psychiatre que vous consultez car des effets "trop" indésirables ou un médicament qui n'aide pas n'est peut-être pas du à une erreur de molécule mais peut-être le diagnostic est-il erroné... C'est parfois une piste que l'on oublie d'envisager lorsque l'on essaye un nombre incalculable de médicaments pour traiter un certaine maladie et aucun ne fonctionne ou pire encore, ils aggravent plus qu'ils ne soignent. C'est une expérience personnelle mais un autre diagnostic m'a permis d'aujourd'hui pouvoir vivre "sereinement" et le plus normalement possible... Et c'est dire que ce n'était pas gagné à un âge où on fait confiance aux psychiatre pour nous "sauver" des maux qui nous rongent !!...

le medicament ma etait prescrit pour reguler mon humeur car je souffre d un trouble bipolaire et pour moi il n a aucun effet le medicament ma etait prescrit pour reguler mon humeur car je souffre d un trouble bipolaire et pour moi il n a aucun effet

En 1998, je prenais du Solian 200 mg, ensuite je prenais du Solian 100 mg. Après ma rechute, je prends du Xéplion 75 mg et du Loxapac 100 mg. En 1998, je prenais du Solian 200 mg, ensuite je prenais du Solian 100 mg. Après ma rechute, je prends du Xéplion 75 mg et du Loxapac 100 mg.

Efficacité au top au départ, puis avec l'accoutumance, efficacité moindre mais toujours présente. A gravement accentué ma dépendance au jeu. Efficacité au top au départ, puis avec l'accoutumance, efficacité moindre mais toujours présente. A gravement accentué ma dépendance au jeu.

Inefficace. Inefficace.

Bonjour j'ai pris de l'abilify pendant un mois et demi pour traiter ma schizophrénie. L'abilify ne m'a pas convenu en effet ce médicament m'endormait énormément et de plus m'a causé à quelques moments des vertiges. Points positifs : il m'a aidé un peu pour diminuer les hallucinations auditives dont je souffre. Bonjour j'ai pris de l'abilify pendant un mois et demi pour traiter ma schizophrénie. L'abilify ne m'a pas convenu en effet ce médicament m'endormait énormément et de plus m'a causé à quelques moments des vertiges. Points positifs : il m'a aidé un peu pour diminuer les hallucinations auditives dont je souffre.