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Expériences avec Abilify

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Abilify

aripiprazole

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SATISFACTION GÉNÉRALE

EFFICACITÉ

pas d'effettrès efficace

EFFETS INDÉSIRABLES

pas d'effetsénormement d'effets

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Psychose (40 avis)
Schizophrénie (37 avis)
Épisode maniaque (5 avis)
Trouble schizotypique (1 avis)

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Abilify

10/04/2021 | Femme | 38
aripiprazole (30mg)
Trouble bipolaire / trouble mani dépressif

Efficacité

Quantité effets secondaires

Bonjour on m a obligé a prendre de l abbilify en injectable je suis comme vous difficultés respiratoires prise de poids de 20 kg phobie sociale mon psychiatre ne veux pas me l arreter pourtant je ne suis pas bipolaire me dit il.

Abilify

20/03/2021 | Homme | 20
aripiprazole (10mg)
Phobie sociale

Efficacité

Quantité effets secondaires

Abilify

11/03/2021 | Femme | 21
aripiprazole (5)
Trouble schizoaffectif

Efficacité

Quantité effets secondaires

Abilify n'a pas été efficace en ce qui me concerne, car j'ai dû très vite arrêter le traitement suite aux effets secondaires: AKATHISIE insupportable malheureusement. C'est dommage car au moins, ce médicament me donnait envie de faire pleins de choses, et de bouger. Mai un peu trop justement... Pas eu le temps de voir sur la durée si cela avait un effet sur mes symptomes. ...lire la suiteJ'ai dû l'arreter en 1 semaine, pourtant j'étais à une très petite dose (5 mg...)

Abilify

05/03/2021 | Femme | 36
aripiprazole (10mg)
Trouble schizoaffectif

Efficacité

Quantité effets secondaires

les medecins m ont prescrit ce medicament en 2008 suite à une ts , sincerement je ne l ai pas pris ensuite depuis 2014 je suis obligée de le prendre par injections à dose maximum ce qui m a causé des troubles musculaires importants plusieurs fractures entorses et autre plus des problèmes respiratoires plus des courbatures constantes et impossibilité totale de faire du spor...lire la suitet alors que j étais sportive je l ai eu ensuite par gouttes ce qui a bousillé la moitié de mes dents et maintenant sous comprimés ce qui trouble la vision . résultat amertume avec quarante kilos en pris une vie et un moral qui s est deteriorée à cause de cela et cela n a pas changé grand chose finalement à part les problèmes physiologiques et un peu cognitifs du au médicament (fatigue difficulté de concentration ou entreprendre des choses ) à éviter si vous n êtes pas comme moi " contraint" on ne devrait pas forcer les gens à prendre ce medicament qui bousille quand même c est un moindre mot l existence .

Abilify

23/02/2021 | Homme | 24
aripiprazole (15mg)
Psychose

Efficacité

Quantité effets secondaires

Premier épisode délirant traité avec du l'abilify 15. Le traitement a du être diminué puis arrêté en raison des effets néfastes sur la psyché.

Abilify

20/02/2021 | Femme | 39
aripiprazole (10mg)
Dépression

Efficacité

Quantité effets secondaires

Abilify

03/02/2021 | Femme | 33
aripiprazole (15mg)
Pas dans la liste

Efficacité

Quantité effets secondaires

Abilify

30/11/2020 | Femme | 20
aripiprazole (5mg)
Pas dans la liste

Efficacité

Quantité effets secondaires

J'ai eu une expérience avec l'abilify il y a 2 ans lors de mon hospitalisation suite à des tentatives de suicide. J'avais à cette époque un traitement très lourd qui me sédatait beaucoup donc je n'ai pas remarqué d'effets secondaires de l'abilify. Cette année on m'a de nouveau prescrit ce médicament avec un plus faible dosage, et j'ai souffert de beaucoup d'effets seconda...lire la suiteires : tremblements constants, angoisse constante, suragitation insupportable, céphalées, perte d'appétit, sommeil perturbé. Le pire étant la gravité de ces effets car l'angoisse était telle que j'étais desespérée, j'ai finalement identifié la cause du problème comme étant l'abilify après 4 jours de calvaire (toujours sur le qui-vive, incapable de rester assise, sentiment d'angoisse insupportable et constante, ...) et j'ai arrêté de le prendre aujourd'hui et je n'ai plus ces effets j'en conclue donc que c'est bien l'abilify qui a causé cette espèce d'énorme crise d'angoisse allongée sur 4 jours. Terrifiante expérience avec ce médicament alors que pas de problèmes avec il y a 2 ans.

Abilify

16/10/2020 | Homme | 16
aripiprazole (30mg)
Schizophrénie

Efficacité

Quantité effets secondaires

Mon fils est atteint de schizophrénie. Il est jeune il a presque 17 ans. Il a pris 30 kg en 5 mois de traitement et continue a en prendre..Il fait 6 kg de plus que le mois dernier. Pourtant le traitement était sensé être le seul des antipsychotiques selon le pedopsychiatre ,à ne pas faire grossir. Inefficacité totale sur ses délires . Il croit encore que tout le monde...lire la suite veut le tuer, complote et le surveille. Se méfie de tout le monde, même du médecin, des gens dehors....etc. De nous ses parents ! N'ouvre toujours pas la fenêtre car pense que des gens pouraient rentrer pour le tuer. Ne se lave que tres peu, ne se brosse presque plus les dents. Vit dans le noir volets fermés, sans sortir de sa chambre. Ne sors que pour manger. Nous avons demandé un autre traitement. On nous a prescrit le Xeplion 75 mg en injection.Il va le commencer la semaine prochaine. On verra ...mais j'ai tres peur pour son avenir en genéral. Il a toujours peur de sortir faire les courses car croit qu'on va le tuer .Aucune amélioration par rapport à avant les injections.Sauf qu'il parle un peu plus et sourit parfois maintenant. Avant il ne parlait jamais. Même quand il répondait c'était Oui - non et on entendait rien du tout tellement que sa voix etait basse .Là on entends sa voix.Mais sinon c'est tout. Ah si ,il dort mieux que sans traitement du tout. Avant il pouvait faire des nuits blanches totales 2 jours d'afilés.

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Votre expérience doit sans doute être très difficile mais je dois vous alerter sur les dangers des neuroleptiques: baisse des capacités cognitives, dyskénesies tardives (mouvements involontaires et gênants), apathie, prises de poids comme vous lexpliquez. Nexisterai il pas des thérapies alternatives pour la schizophrénie de votre fils?

17/04/2021 12:49

Abilify

09/10/2020 | Femme | 57
aripiprazole (15mg)
Problèmes psychiques

Efficacité

Quantité effets secondaires

Bonjour, je suis tombée malade il y a six mois. De multiples symptômes physiques, tachycardie, insomnie, apnées du sommeil, violent mal de tête etc... le côté psychologique a surtout été repéré par le corps médical, je suis devenue incapable de rester en place et de m intéresser à quoi que ce soit. Avant j étais pleine de vie et d intérêt pour tout, d'activité. Aujourd'hui...lire la suite , après une TS et hospitalisation je suis sous Abilify depuis trois semaines. (Tercian et havlane pour dormir)Je suis toujours incapable de faire quoi que ce soit, je reste allongée la plupart du temps et ne peux ni lire ni regarder la télévision. Tout me fait peur. Ma vie est un enfer.je ne conduis plus, je ne sors plus de ma maison, je peine à me laver et à faire quelques taches ménagères. Quelqu un aurait il connu la même maladie que moi et pourrait il m en donner une fin positive?

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C'est l'abilifly qui fait ça, c'est un neuroleptique, peu causer de l'akathisie (impossibilité à rester en place), inhiber les fonctions mentales supérieures donc perte d'envie, de créativité, apathie... les neuroleptiques sont aussi des médicaments très dangereux qui peuvent casser des dyskénesies tardives et baisser le qi. A éviter à tout prix.

17/04/2021 12:46

Abilify

04/09/2020 | Femme | 42
aripiprazole (10mg)
Dépression chronique

Efficacité

Quantité effets secondaires

J'ai souffert de dépression avec troubles de l'humeur pendant 15 ans accompagnée d'épisodes de paranoia, j'ai eu des traitements plus ou moins long pendant cette période type prozac, xanax, je tiens a préciser que j'ai développé ces symptômes a 23 ans suite a une enfance chaotique, et que je suis allée directement prendre rendez-vous avec une psychologue dans un cmp, j'ai...lire la suite toujours été suivie en psychothérapie. En 2013, je me suis séparée de mon conjoint, car de par cette relation je ressentais un profond mal-être, il voulait me contrôler tout le temps, celui-ci, pour se venger de la rupture, a commencé a me harceler ma famille et moi , nous avons porter plainte en tout une quinzaine de fois, il y a eu des faits très graves. Suite a cela, j'ai littéralement explosée en 2014, un jour de Septembre, au lieu d'aller travailler comme d'habitude, j'ai fais une fugue, j'ai passé la nuit dehors et j'ai tenté d'en finir avec tout ça...heureusement cela n'a pas marché et le lendemain, dans un accès de lucidité, j'ai pensé a mon fils qui avait, a l'époque 10 ans, et je suis rentrée, toute ma famille, a part mon fils qui était à l'école, était là et me cherchait partout a l'aide des services de police. ma famille a appelé une ambulance et je suis restée 3 jours aux urgences psychiatriques, on m'a proposé de rester quelques mois a l’hôpital, j'ai refusé car j'ai eu peur de perdre le lien avec mon fils avec qui on était très proches et c'était très important pour moi de continuer mon rôle de maman . Je suis restée en arrêt de travail pendant quelques mois, j'ai demandé un licenciement a l'amiable en Février 2015 a mon employeur qui a accepté je ne pouvais pas rester dans cette entreprise car mon ex-conjoint y travaille toujours. En Mai 2015, j'ai retrouvé du travail, ma psychiatre m'a mise sous Séroplex et Abilify, mon fils a été suivi par une psychologue pendant deux ans, car quand j'ai fais ma fugue, son père a eu peur et dans un souci de protection a récupérer la garde de notre fils mais celui-ci l'a mal vécu car il souhaitait rester avec moi. et pour qu'il n'emmagasine pas de la colère, j'ai préféré le faire suivre. Je tiens a préciser que le père de mon fils n'est pas la personne qui nous a harcelé. Sous Séroplex et Abilify, j'ai pris 20 kg, j'étais somnolente et au début je ne captais pas grand chose. Avec le temps et les années, j'ai pu me construire une vie saine et normale, j'ai pu arrêter mes traitements de manière suivie et progressive en 2019, au jour d'aujourd'hui, tout ça est loin derrière moi et je me sens guérie, je suis heureuse,mon fils est heureux et équilibré, j'ai retrouvé un homme qui m'apporte la sérénité dans mon foyer. C'est important pour moi de témoigner car je sais que beaucoup de personnes souffrent, ne perdez jamais espoir, concentrez vous sur ce qui vous apporte du positif, même si c est un peu, car au bout du compte , on devient soi-même. J'ai de nouveau la garde de mon fils, et je suis fière de moi car je sais que c'est une victoire contre la maladie. On me dit souvent que je suis une personne très combative, Séroplex et Abilify, dans mon cas, m'ont aidé a aller de l'avant car ça m'a permis de me concentrer uniquement sur ce qui était important et pas sur des choses négatives et destructrices. Je suis toujours suivie par ma psychiatre une fois par mois pour l'instant, et avec le temps, les rendez-vous s'espaceront. Merci de m'avoir lue et je souhaite de tout coeur que cela pourra vous aider. J'ai souffert de dépression avec troubles de l'humeur pendant 15 ans accompagnée d'épisodes de paranoia, j'ai eu des traitements plus ou moins long pendant cette période type prozac, xanax, je tiens a préciser que j'ai développé ces symptômes a 23 ans suite a une enfance chaotique, et que je suis allée directement prendre rendez-vous avec une psychologue dans un cmp, j'ai toujours été suivie en psychothérapie. En 2013, je me suis séparée de mon conjoint, car de par cette relation je ressentais un profond mal-être, il voulait me contrôler tout le temps, celui-ci, pour se venger de la rupture, a commencé a me harceler ma famille et moi , nous avons porter plainte en tout une quinzaine de fois, il y a eu des faits très graves. Suite a cela, j'ai littéralement explosée en 2014, un jour de Septembre, au lieu d'aller travailler comme d'habitude, j'ai fais une fugue, j'ai passé la nuit dehors et j'ai tenté d'en finir avec tout ça...heureusement cela n'a pas marché et le lendemain, dans un accès de lucidité, j'ai pensé a mon fils qui avait, a l'époque 10 ans, et je suis rentrée, toute ma famille, a part mon fils qui était à l'école, était là et me cherchait partout a l'aide des services de police. ma famille a appelé une ambulance et je suis restée 3 jours aux urgences psychiatriques, on m'a proposé de rester quelques mois a l’hôpital, j'ai refusé car j'ai eu peur de perdre le lien avec mon fils avec qui on était très proches et c'était très important pour moi de continuer mon rôle de maman . Je suis restée en arrêt de travail pendant quelques mois, j'ai demandé un licenciement a l'amiable en Février 2015 a mon employeur qui a accepté je ne pouvais pas rester dans cette entreprise car mon ex-conjoint y travaille toujours. En Mai 2015, j'ai retrouvé du travail, ma psychiatre m'a mise sous Séroplex et Abilify, mon fils a été suivi par une psychologue pendant deux ans, car quand j'ai fais ma fugue, son père a eu peur et dans un souci de protection a récupérer la garde de notre fils mais celui-ci l'a mal vécu car il souhaitait rester avec moi. et pour qu'il n'emmagasine pas de la colère, j'ai préféré le faire suivre. Je tiens a préciser que le père de mon fils n'est pas la personne qui nous a harcelé. Sous Séroplex et Abilify, j'ai pris 20 kg, j'étais somnolente et au début je ne captais pas grand chose. Avec le temps et les années, j'ai pu me construire une vie saine et normale, j'ai pu arrêter mes traitements de manière suivie et progressive en 2019, au jour d'aujourd'hui, tout ça est loin derrière moi et je me sens guérie, je suis heureuse,mon fils est heureux et équilibré, j'ai retrouvé un homme qui m'apporte la sérénité dans mon foyer. C'est important pour moi de témoigner car je sais que beaucoup de personnes souffrent, ne perdez jamais espoir, concentrez vous sur ce qui vous apporte du positif, même si c est un peu, car au bout du compte , on devient soi-même. J'ai de nouveau la garde de mon fils, et je suis fière de moi car je sais que c'est une victoire contre la maladie. On me dit souvent que je suis une personne très combative, Séroplex et Abilify, dans mon cas, m'ont aidé a aller de l'avant car ça m'a permis de me concentrer uniquement sur ce qui était important et pas sur des choses négatives et destructrices. Je suis toujours suivie par ma psychiatre une fois par mois pour l'instant, et avec le temps, les rendez-vous s'espaceront. Merci de m'avoir lue et je souhaite de tout coeur que cela pourra vous aider.

Abilify

30/08/2020 | Femme | 57
aripiprazole (15mg)
Pas dans la liste

Efficacité

Quantité effets secondaires

Je suis tombée malade en 2002, les médecins et professeurs me disaient bipolaire, du coup ils ont essayé une multitude de psychotropes qui nagissaient pas. J'ai été diagnostiquée borderline en 2005. Mon psychiatre de ville m'a alors prescrite de l'abilify 15mg. Depuis ce jour je vais beaucoup mieux du point de vue de l'humeur et des émotions, je suis moins touchée par les ...lire la suiteremarques ou observations... Mais j'ai encore de temps en temps des crises d'automutilation ou de crises suicidaires mais rien à voir avec ce que j'ai vécu avant la prescription de l'abilify, par contre j'ai pris du beaucoup de poids

Abilify

26/08/2020 | Homme | 29
aripiprazole (15mg)
Trouble bipolaire / trouble mani dépressif

Efficacité

Quantité effets secondaires

D'accord avec l'avis d'en dessous, c'est une drogue qui impacte tous les muscles de mon corps, ca fait tres mal , agitement, ne tient pas en place, reveil multiples fois la nuit, lentourage ne comprend pas, a eviter absolument. Attention une fois que vous lavez pris deux semaines, impacte la vision quand on essaie de l'arreter.

Abilify

29/04/2020 | Femme | 45
aripiprazole (15mg)
Pas dans la liste

Efficacité

Quantité effets secondaires

Abilify est un vrai poison qui devrait être INTERDIT. Très grâve : empêche la dopamine de jouer son rôle dans le corps, donc : effets parkinsonniens : impatiences, tremblements, mouvements involontaires, destructions des nerfs et des muscles ...

Abilify

16/04/2020 | Homme | 25
aripiprazole (10mg)
Angoisse / trouble panique

Efficacité

Quantité effets secondaires

traitement stopper

Abilify

28/02/2020 | Homme | 17
aripiprazole (10mg)
Troubles d'angoisse

Efficacité

Quantité effets secondaires

Après 2 ans de suivi en CMPEA et plus d'une année de prise de Solian jusqu'à la dose de 800mg m'ayant fait contracter des dystonies au pouce, traitées par Lepticur, j'ai été emmené à adopter ce soi-disant "traitement" ("soins", lol) auprès d'un nouveau psychiatre CMP. Je précise d'emblée que les raisons de la prise de ces deux traitements n'ont jamais été justifiées verbal...lire la suiteement (aucune énonciation de "psychose", "schizophrénie", "autisme", etc... ni aucune piste pour un diagnostic proposé en fait) si ce n'étaient des crises d'angoisses que je n'avais jamais eues avant le début de mon suivi et que je peux expliquer aujourd'hui par l'absence de contrôle sur ma propre vie alors que j'étais adolescent et vivant au domicile familial (ce qui est toujours le cas à 28 ans). Ce psychiatre m'a donc fait prendre de l'Abilify pendant 60 semaines entre Juin 2008 et Septembre 2009 (le fabricant de cette m****, pardon, de ce "soin", indiquant ne pas dépasser la prise à plus de 12 semaines), date où une inquiétante dystonie à la nuque (à noter que le Lepticur avait été arrêté quelques mois plus tôt) est survenue au cours d'une nuit pour durer 2 à 3 heures (cou qui se tendait tout seul vers l'avant avec une douleur insupportable causé par l'écrasement des vertèbres cervicales). Ce à quoi le psychiatre m'a posé la condition de l'arrêt de mon suivi si je refusais de continuer la prise de cette sal****ie, pardon, de ce "traitement" - ce que j'avais dédcidé au vu de la gravité des effets secondaires. Après 8 années d'errance et à l'aide d'une nouvelle psychiatre, j'ai eu accès à mes dossiers médicaux (Article L 1111 7 du Code de la Santé Publique) pour me prendre compte que le psychiatre CMP en question n'a pas noté l'épisode de la dystonie à la nuque dans ses notes ; il évoque au lieu de cela l'excuse fallacieuse d'une simple volonté de perte de poids, car l'Abilify m'avait rendu physiquement "plein à craquer" également (j'ai perdu 20kg dans les mois suivant l'arrêt de la prise, mais entre 18 et 19 ans je passais à l'âge adulte). Ce monsieur, qui me reprochait donc d'être "en dehors des réalités" dans ses notes de mon dossier médical sans jamais expliquer ce qu'il en était réellement - pour me faire passer d'office pour un menteur et un cinglé ? -, s'est donc permis d'effacer toute trace de son chantage au traitement et des effets secondaires subis par l'Abilify qui auraient pu s'aggraver en cas de continuité de la prise du ""médicament" ; également, il avait noté un "retrait autistique marqué" en Mai 2008, soit 1 mois avant le commencement de la prise du "traitement", ce dont il ne fit jamais rien à savoir que j'aurai été diagnostiqué 10 ans plus tard, dès Mai 2019, auprès d'une structure spécialisée - j'ai donc perdu des opportunités de vie importantes, n'ayant pas pu obtenir l'AAH dès mes 20 ans . (Meamedica.fr: le texte a été ramené à l'expérience médicamenteuse.) Après 2 ans de suivi en CMPEA et plus d'une année de prise de Solian jusqu'à la dose de 800mg m'ayant fait contracter des dystonies au pouce, traitées par Lepticur, j'ai été emmené à adopter ce soi-disant "traitement" ("soins", lol) auprès d'un nouveau psychiatre CMP. Je précise d'emblée que les raisons de la prise de ces deux traitements n'ont jamais été justifiées verbalement (aucune énonciation de "psychose", "schizophrénie", "autisme", etc... ni aucune piste pour un diagnostic proposé en fait) si ce n'étaient des crises d'angoisses que je n'avais jamais eues avant le début de mon suivi et que je peux expliquer aujourd'hui par l'absence de contrôle sur ma propre vie alors que j'étais adolescent et vivant au domicile familial (ce qui est toujours le cas à 28 ans). Ce psychiatre m'a donc fait prendre de l'Abilify pendant 60 semaines entre Juin 2008 et Septembre 2009 (le fabricant de cette m****, pardon, de ce "soin", indiquant ne pas dépasser la prise à plus de 12 semaines), date où une inquiétante dystonie à la nuque (à noter que le Lepticur avait été arrêté quelques mois plus tôt) est survenue au cours d'une nuit pour durer 2 à 3 heures (cou qui se tendait tout seul vers l'avant avec une douleur insupportable causé par l'écrasement des vertèbres cervicales). Ce à quoi le psychiatre m'a posé la condition de l'arrêt de mon suivi si je refusais de continuer la prise de cette sal****ie, pardon, de ce "traitement" - ce que j'avais dédcidé au vu de la gravité des effets secondaires. Après 8 années d'errance et à l'aide d'une nouvelle psychiatre, j'ai eu accès à mes dossiers médicaux (Article L 1111 7 du Code de la Santé Publique) pour me prendre compte que le psychiatre CMP en question n'a pas noté l'épisode de la dystonie à la nuque dans ses notes ; il évoque au lieu de cela l'excuse fallacieuse d'une simple volonté de perte de poids, car l'Abilify m'avait rendu physiquement "plein à craquer" également (j'ai perdu 20kg dans les mois suivant l'arrêt de la prise, mais entre 18 et 19 ans je passais à l'âge adulte). Ce monsieur, qui me reprochait donc d'être "en dehors des réalités" dans ses notes de mon dossier médical sans jamais expliquer ce qu'il en était réellement - pour me faire passer d'office pour un menteur et un cinglé ? -, s'est donc permis d'effacer toute trace de son chantage au traitement et des effets secondaires subis par l'Abilify qui auraient pu s'aggraver en cas de continuité de la prise du ""médicament" ; également, il avait noté un "retrait autistique marqué" en Mai 2008, soit 1 mois avant le commencement de la prise du "traitement", ce dont il ne fit jamais rien à savoir que j'aurai été diagnostiqué 10 ans plus tard, dès Mai 2019, auprès d'une structure spécialisée - j'ai donc perdu des opportunités de vie importantes, n'ayant pas pu obtenir l'AAH dès mes 20 ans . (Meamedica.fr: le texte a été ramené à l'expérience médicamenteuse.)

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