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J'ai la fibro et j'ai pris beaucoup de rivotril dur de sans passer. Maintenant je prends 2 à 3 g de temps en temps quand je ne peux pas dormir donc plus d'addiction et génial sur la douleur.

10/01/2017 12:03

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Un peu dans un cas similaire, grosse consommatrice d'héroïne en IV, puis des années de substitutions de la méthadone au Subutex en passant par la codéïne, plus quantité de benzos, et autres anxiolytiques et barbituriques. J'étais passée d'une addiction à une autre bien plus sévère finalement. J'ai fait quantité de sevrage à sec, seule avec quelques réussites mais je finissais toujours par replonger, j'ai fait alors un sevrage en clinique, où j'ai souffert le martyr, avec des hallus, des crises de spasmophilie, mais j'étais très ferme et je ne voulais aucun soutien médicamenteux. C'était en 1997, j'ai tenu 4 ans, et j'ai replongé sévèrement, après de nombreux séjours aux urgences pour cause de surdosage, j'ai retenté un sevrage à sec (je ne parviens pas à réduire, je dois tout arrêter d'un seul coup), mais n'étant plus aussi jeune cet arrêt brutal m'a donné de grosses frayeurs en plus du reste j'avais vraiment peur de mourir, mon coeur ne battait plus régulièrement, je ne pouvais pas me lever ni me préparer à manger, je me suis donc fait hospitalisée à nouveau en clinique psy et là quand je suis arrivée mon psychiâtre a voulu me préscrire du Rivotril, j'ai refusé, je voulais vivre sans médicaments, 15 jours ont passé j'étais clean, mais j'avais des sortes de décharges électrique dans tous les muscles de mon corps, je sursautais au moindre bruit, c'était infernal, Je ne connaissais pas du tout le Rivotril, et en accord avec mon psychiâtre, j'ai finalement accepté de prendre cette molécule mais je ne voulais pas savoir sa composition et j'avais bien précisé que je ne voulais pas de benzos !! Et Ô miracle au bout de quelques prises (2mg matin et soir) je me suis senti fabuleusement bien et depuis ( 2009 ) je n'ai pas rechuté, je continue le traitement au même dosage et tant pis si je dois le prendre à vie !! Pas d'effets secondaires, plus de trous de mémoire, je suis devenue plus stable et posée. J'ai quand même fait un petit scandale à mon psy (que j'adore) lorsque j'ai découvert que c'était un benzo, en riant il m'a répondu que c'était un dérivé des benzos et que ça changeait tout ! Peut-être que ton traitement est juste un peu surdosé. (?)

23/01/2017 23:05

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Les médecins français sont très réticents par rapport au Rivotril. Pourquoi ? Dieu seul le sait, et encore... En Belgique, aucun problème pour s'en procurer s'il s'avère utile pour l'une ou l'autre pathologie (dans mon cas, pour soulager une atteinte neurogène liée à une arthrose des cervicales). Il peut être prescrit par un simple généraliste et obtenu sans difficulté dans n'importe quelle pharmacie.

19/12/2016 21:47

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La miansérine m'a enfoncée davantage dans la dépression et en plus, cela me faisait dormir toute la journée ! au volant, c'était très dangereux car je roulais en dormant à moitié. J'ai déjà pris du Rivotril mais en comprimés pas en gouttes. Il ne faut pas retomber dans ce processus infernal. Pourquoi ne pas essayer des acides aminés qui sont naturels, par exemple la L-Tyrosine (on ne la trouve que sur internet). En dépression depuis très longtemps, la L-Tyrosine m'a aidée nerveusement.

07/12/2014 17:17

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Bonjour, je prends rivotril pour troubles anxieux et du sommeil depuis 9 ans, auparavant je prenais trop de choses despuis 15 ans: lisanxia X 6 par jour plus stylnox pour dormir parfois X 2 dans la nuit, donc un médecin m'a conseillé 5 gouttes de rivotril le soir pour diminuer tout le reste mais voilà j'ai augmenté seule et suis ensuite allée voir un autre médecin à qui je demandais ce que je voulais résultat 46 gouttes de rivotril par jour environ soit à volonté! ensuite il a été interdit par les généralistes et là j'ai voulu me sevrer et j'ai découvert l'enfer de ce truc, moi qui pensais ne pas être droguée.je ne fume plus, ne bois pas... bref, tête dans étau comme toi, lourde, parfois difficile de réfléchir, perte de mémoire, violence inexpliquée, déprime.très dur et le sommeil je n'en parle pas. 1er sevrage sur conseil de mon médecin trop rapide, remontée en urgence à 22 gouttes, depuis 1 an je m'y tiens, tout mon corps à mal, mes yeux aussi,mes articulations et j'en passe.je diminue au feeling je suis à 9 gouttes, le chemin est encore long, mais il faut que je me félicite car c'est déjà énorme car je travaille seule et dur en parallèle et à mon compte.Je diminue à l'aide d’une seringue et j'attends ensuite 1 mois pour voir mes sensations, réactions... je diminue de de 1 degré par 1 degré dans une seringue, donc de moins de 1/4 de goutte sur deux semaines. je tente un régime acido basique, je fais 20 mn de sport par jour pour le mental, je prends bcp de complément vitaminique pour aider la relaxation du corps extrait pur de valériane, magnésium vitamine groupe B zinc etc... si questions me demander. j'ai aussi arrêté le laroxyl qui m'a cependant pas mal aidé à certain moment où je ne dormais même plus. Et les troubles digestifs au début n'en parlons même pas. tordant et tout cela en travaillant, avec une tête dans un étau qui ne peut pas bien réfléchir.très très dur et ce n'est pas fini

03/11/2013 14:16

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Bonjour, vous pouvez allez voir un neurologue qui vous prescrira du Rivotril avec une ordonnance spéciale et ensuite durant un an votre généraliste fera de même. Cordialement.

07/07/2013 15:26

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bonjour,je ne sais pas si l'on t'a repondu ,mais je te conseil d'aller voir un neurologue.C'est la "procédure" a faire,maintenant, si tu veux du rivotril.Il va te faire 1 ordonnance pour quelques mois et après c'est ton généraliste qui prend le relais.Et ceci est valable 1 an ,après tu retourne voir le neurologue,puis ton medecin généraliste.Et c'est comme ça tout les ans

12/06/2013 00:08