J'ai pris du lorazepam pour calmer mes angoisses..Ce médicament est un tranquillisant de la famille des benzodiazépines..j'en suis contente. Je le prends 3/4 le matin pendant pendant 15j , ensuite je suis passée à un demi pendant 15jours et pour finir un quart également 15j. J'en prends seulement un le soir et je me sents très bien ce n'était pas difficile.Pourtant j'e...lire la suiten prenais autant depuis des années. On l'achete en ligne comme je le prends sans prescriprion. Le site de vente en ligne . Je compte commencer avec celui du soir de la même façon avec la même motivation .Essayer c'est pas difficile. J'ai pris du lorazepam pour calmer mes angoisses..Ce médicament est un tranquillisant de la famille des benzodiazépines..j'en suis contente. Je le prends 3/4 le matin pendant pendant 15j , ensuite je suis passée à un demi pendant 15jours et pour finir un quart également 15j. J'en prends seulement un le soir et je me sents très bien ce n'était pas difficile.Pourtant j'en prenais autant depuis des années. On l'achete en ligne comme je le prends sans prescriprion. Le site de vente en ligne . Je compte commencer avec celui du soir de la même façon avec la même motivation .Essayer c'est pas difficile.

depuis mes 23 ans j'ai des crises de panique et d'angoisse... j'ai maintenant 35 ans... mon généraliste m'a prescrit paroxetine et lorazepam.... un bon truc ce lorazepam, on ne sent plus , mais alors vraiment plus rien...après un certain temps, la dose doit être augmentée et de nouveau car cela ne marche pls.... après 7 ans j'ai stoppé du jour au lendemaine... cette saleté...lire la suite m'a presque coûté mon mariage et moi-même. en 8 semaines j'en étais sortie, en continuant de faire ce que je faisais, plus de crises de panique... je fais tout de nouveau moi-même.. donc je conseille à tous d'agir, d'agir et d'agir et de stopper avec cette saleté. cela gâche la vie simplement et on le remarque pas rapidement. .... lorazepam est un sale truc 1 depuis mes 23 ans j'ai des crises de panique et d'angoisse... j'ai maintenant 35 ans... mon généraliste m'a prescrit paroxetine et lorazepam.... un bon truc ce lorazepam, on ne sent plus , mais alors vraiment plus rien...après un certain temps, la dose doit être augmentée et de nouveau car cela ne marche pls.... après 7 ans j'ai stoppé du jour au lendemaine... cette saleté m'a presque coûté mon mariage et moi-même. en 8 semaines j'en étais sortie, en continuant de faire ce que je faisais, plus de crises de panique... je fais tout de nouveau moi-même.. donc je conseille à tous d'agir, d'agir et d'agir et de stopper avec cette saleté. cela gâche la vie simplement et on le remarque pas rapidement. .... lorazepam est un sale truc 1

depuis juin 2011, je prends lorazepam du fait de sérieux symptômes d'angoisse. cela a bien marché les 4 premiers mois mais ces derniers mois j en prends de plus en plus (maintenant 6 à 7 mg par jour) , j'ai aussi depuis quelques temps une peau qui brûle et des picotements dans les bras et les doigts.... quelqu'un a-t-il fait la même expérience.... depuis juin 2011, je prends lorazepam du fait de sérieux symptômes d'angoisse. cela a bien marché les 4 premiers mois mais ces derniers mois j en prends de plus en plus (maintenant 6 à 7 mg par jour) , j'ai aussi depuis quelques temps une peau qui brûle et des picotements dans les bras et les doigts.... quelqu'un a-t-il fait la même expérience....

Bonjour suite à un accident et médicaments (sulfate de morphine et oxycodone) j'ai dû mal à dormir mon médecin m'a prescrit 2,5mg de lorazépam pour moi je ressens aucun effet pas plus qun dolipran j'aimerais savoir si on peut en prendre 2 sens danger ou faire un mélange sulfate de morphine d'après les site c'est dangereux Bonjour suite à un accident et médicaments (sulfate de morphine et oxycodone) j'ai dû mal à dormir mon médecin m'a prescrit 2,5mg de lorazépam pour moi je ressens aucun effet pas plus qun dolipran j'aimerais savoir si on peut en prendre 2 sens danger ou faire un mélange sulfate de morphine d'après les site c'est dangereux

J'ai commencé à prendre ce médicament à cause de grosses insomnies et je le prends encore actuellement. J'essaie de m'en défaire, mais le sevrage est horrible et la dépendance très très forte!!! Ce médicament soulage dans un premier temps, mais a déjà détruit pas mal de vies à cause de l'addiction à laquelle il mène. Comme il soulage rapidement, on en prend un pour dépanne...lire la suiter. Puis un autre. Puis encore un. Pour, au final, en arriver à en prendre quotidiennement. Avec le temps, l'humeur est altérée, on devient plus impulsif, on panique quand on n'en a plus sous la main. Les troubles originels sont accentués (angoisse, dépression, etc.). Ca a des incidences dans la vie privée, professionnelle et sociale. Quand on décide d'en sortir, les portes de l'enfer s'ouvrent et on découvre la bêtise qu'on a faite en commençant à prendre cette benzodiazépine!!! Attention, n'arrêtez JAMAIS sans un suivi médical! J'ai commencé à prendre ce médicament à cause de grosses insomnies et je le prends encore actuellement. J'essaie de m'en défaire, mais le sevrage est horrible et la dépendance très très forte!!! Ce médicament soulage dans un premier temps, mais a déjà détruit pas mal de vies à cause de l'addiction à laquelle il mène. Comme il soulage rapidement, on en prend un pour dépanner. Puis un autre. Puis encore un. Pour, au final, en arriver à en prendre quotidiennement. Avec le temps, l'humeur est altérée, on devient plus impulsif, on panique quand on n'en a plus sous la main. Les troubles originels sont accentués (angoisse, dépression, etc.). Ca a des incidences dans la vie privée, professionnelle et sociale. Quand on décide d'en sortir, les portes de l'enfer s'ouvrent et on découvre la bêtise qu'on a faite en commençant à prendre cette benzodiazépine!!! Attention, n'arrêtez JAMAIS sans un suivi médical!

Sevrage d’Ativan Bonjour, J’écris ce message pour t’aider si tu as décidé de faire un sevrage d’Ativan. Je l’ai fait moi-même avec succès, mais j’ai trouvé que le web manquait de témoignage pour m’épauler dans ce que je vivais. C’est pourquoi je partage mon expérience aujourd’hui. Après 5 mois d’insomnie, et après avoir tout essayé (mélatonine, advil nuit, valéria...lire la suitene, passiflore, camomille et compagnie) j’ai finalement consulté mon médecin pour un somnifère. Beaucoup de mes proches m’avaient mis en garde contre ce médicament mais j’étais dans le déni, tout ce que je voulais c’était dormir. J’ai eu une prescription pour 30 jours. Les premiers jours, ça a très bien marché, mais rapidement j’ai commencé à ressentir un manque et à me réveiller la nuit. Quand ça arrivait, j’en prenais un deuxième et puis hop, je retrouvais magiquement le sommeil. Je manquais d’information à ce niveau : il ne faut jamais doubler la dose. Comme j’avais terminé mes comprimés un peu plus vite que prévu (10 jours), je pensais simplement aller à la pharmacie et en chercher d’autres. Deuxième erreur; les pharmaciens ne renouvellent pas Ativan comme ça, pcq « ça pourrait causer une dépendance »… Et voilà le moment où j’ai découvert que j’étais devenu dépendante. « Mais moi, je ne suis pas dépendante dans la vie aux substances, ça va bien aller! » pensais-je… Jour 1 : Nuit d’insomnie complète. Après 24 h sans avoir dormi, je suis sortie du lit dans un état d’anxiété extrême. J’ai pleuré comme si je revivais les pires moments de ma vie. Je me suis senti comme si je faisais une overdose de speed. Mon copain m’a consolé, m’a aidé à prendre une douche (j’étais très faible et je tremblais) et est allé nous chercher à manger et on a regardé un film… à 7h du matin. J’avais constamment froid. J’ai réussi à dormir 1 heure en avant-midi. J’ai appelé une amie massothérapeute qui m’a dis d’aller la rejoindre pour un massage. En tournant le premier coin de rue, j’ai réalisé que je ne pouvais pas conduire. Je fouille alors le web pour savoir ce qui m’arrive. « Il est fortement déconseillé d’arrêter Ativan cold turkey, ça pourrait vous causer beaucoup d’effets secondaires et mener à l’hopitalisation. » Ok, c’est noté. C'est pas comme si j’avais le choix, hein. J’avoue avoir pensé une seconde essayer d’aller trouver le dealer du coin mais c’est pas trop mon truc, mauvaise idée. J’ai ensuite pensé d’acheter le pharmacien, mais j’avais pas envie de m’humilier. J’ai décidé de passer au travers. « De toute façon, c’est pas comme si ça allait durer une semaine » pensais-je naïvement. Jour 2 : Nuit d’insomnie complète encore. Je me sens encore en bad trip. Le mental est hyperactif mais je n’arrive pas a me concentrer sur qqch en particulier. Je me sens un peu moins pire, mais en rien mieux. Je réussi à accomplir quelques tâches à la maison et même aller faire les courses, mais je vois tout comme une montagne et perd courage. Regain d’énergie suivi de chute d’énergie sans prévenir. Les tremblements continuent (quand je parle de tremblement, je veux parler d’un grand tremblement interne, à débit très rapide, qui prend au cœur, au ventre, et se transpose dans les mains). Je n’ai envie de rien faire. Désintérêt pour tout, mais je suis dans un état de stress et d’agitation extrême. Je voudrais réussir à faire quelque chose mais j’ai du mal à y arriver. Je ne dors pas en journée car je me dis que si je m’endure, je pourrai peut-être dormir la nuit et retrouver un cycle normal. Ce n’est pas arrivé. Jour 3 : Nuit d’insomnie complète encore. Je me lève exténuée, à bout d’avoir trop essayé de dormir sans avoir réussis. Un rien me fait pleurer. J’ai une tête cauchemardesque. Avec mon copain, qui me supporte énormément, on en conclut deux choses : je ne dois jamais reprendre d’Ativan de ma vie, et je dois quitter mon travail, origine de mon anxiété, jusqu'à ce que je gère mieux mon stress et que j’aie retrouvé la paix. Je dors 4 heures avec intermittences en avant midi. 4 heures remplies de cauchemars, mais aussi de rêves de (feu) mon grand-père qui me supporte. En après-midi, nous allons à la campagne chez ma belle-mère qui me sert du vin et un repas copieux. Ça me fait du bien. Le soir venu, j’envoie un courriel à ma directrice exprimant ma décision de terminer mon contrat. Je prends un aide-sommeil genre « benadril » sur les conseils d’un pharmacien après m’être confessée. Je me couche satisfaite. Jour 4 : J’ai réussi à dormir 5 heures avec intermittences. Je me lève mais je suis à l’opposée d’être en forme. J’aurais dormi pendant 30 heures facilement, mais j’avais des engagements cette journée-là. Je me prépare un peu maladroitement, oubliant des choses très simples et en étant éparpillé sur 4 tâches en même temps. Au cours de la journée, rien ne va plus. Je me sens en chute de pression ou en hypoglycémie, je ne sais pas trop. Je me sens soudainement comme si j’avais bu 5 Red Bulls. Je mange un Mc Do en catastrophe (resto le plus proche de moi à ce moment-là, oblige) et ça passe. C’est cette journée-là que les crises commencent. Jour 5 : Malheureusement je n’ai pas réussis à retrouver la sérénité de la nuit précédente. Je n’ai pas dormi. Je dors 3 heures en avant midi. Je dois aller travailler pour ma dernière semaine. Ma journée se passe en alternance soleil/crise. Une crise, c’est comme un grand tremblement interne, un grave état de stress sans aucune raison, sans savoir pourquoi. J’ai plus chaud et je su. Juste me lever d’une chaise peut déclencher une crise. Comme je dois garder le contrôle sur moi devant les autres au travail, j’essaie de m’éclipser aux toilettes ou devant une fenêtre pour que ça paraisse moins. Je feins d’avoir une grippe. Les crises, lorsqu’elles arrivent, me paraissent interminables. Cette journée-là j’ai eu environ 10 crises variant entre 5 et 25 minutes. J’ai aussi eu une pensée pour l’Ativan. Je me suis mise à penser que je pourrais peut-être aller en chercher quand je le pourrais, « mais juste un, pour dormir, après c’est tout ». J’ai chassé cette pensé. J’étais juste découragée et sans repères sur quand allait prendre fin le sevrage. Jour 6 : Même chose que jour 5, mais avec un peu moins de crise. (ou environ pareil, mais je sais mieux les gérer) Je ne dors pas plus. Même impression de red bull, mais disons qu’on descend à 3 au lieu de 5. Jour 7 : Avant dernier jour de travail. Cette pensée m’a fait me coucher avec un sourire. J’ai dormi 5 heures avec intermittences. Je me lève et me rend compte au bout d’un moment que je n’ai plus de crises. Un poids entre les omoplates est disparu. Je passe une belle journée jusqu’à ce qu’un évènement me contrarie au travail. Je réalise dès lors que je n’aie plus la patience et la tolérance pour continuer et que ma décision était la bonne. Je dois me reposer. First things first. Jour 8 : Le sevrage semble être terminé. Reste le weekend à passer, quelques heures supp. À la maison, plus qu’un jour de travail. L’insomnie domine encore mes nuits mais je vois la ligne d’arrivée. Je sais que j’y arriverai bientôt. Mon sevrage m’aura pris 7 jours bien comptés. J’espère que je t’ai aidé un peu. Pour soulager les effets du sevrage, arme-toi de citron, gingembre et miel en infusion. Ça aide à calmer un peu et ça prévient d’attraper un virus alors que tes défenses sont au plus bas. Mange de bons repas caloriques et bois de l’eau. Ça va finir par passer. Je n’ai pas ressenti de dépendance psychologique. C’était surtout physique. Sevrage d’Ativan Bonjour, J’écris ce message pour t’aider si tu as décidé de faire un sevrage d’Ativan. Je l’ai fait moi-même avec succès, mais j’ai trouvé que le web manquait de témoignage pour m’épauler dans ce que je vivais. C’est pourquoi je partage mon expérience aujourd’hui. Après 5 mois d’insomnie, et après avoir tout essayé (mélatonine, advil nuit, valériane, passiflore, camomille et compagnie) j’ai finalement consulté mon médecin pour un somnifère. Beaucoup de mes proches m’avaient mis en garde contre ce médicament mais j’étais dans le déni, tout ce que je voulais c’était dormir. J’ai eu une prescription pour 30 jours. Les premiers jours, ça a très bien marché, mais rapidement j’ai commencé à ressentir un manque et à me réveiller la nuit. Quand ça arrivait, j’en prenais un deuxième et puis hop, je retrouvais magiquement le sommeil. Je manquais d’information à ce niveau : il ne faut jamais doubler la dose. Comme j’avais terminé mes comprimés un peu plus vite que prévu (10 jours), je pensais simplement aller à la pharmacie et en chercher d’autres. Deuxième erreur; les pharmaciens ne renouvellent pas Ativan comme ça, pcq « ça pourrait causer une dépendance »… Et voilà le moment où j’ai découvert que j’étais devenu dépendante. « Mais moi, je ne suis pas dépendante dans la vie aux substances, ça va bien aller! » pensais-je… Jour 1 : Nuit d’insomnie complète. Après 24 h sans avoir dormi, je suis sortie du lit dans un état d’anxiété extrême. J’ai pleuré comme si je revivais les pires moments de ma vie. Je me suis senti comme si je faisais une overdose de speed. Mon copain m’a consolé, m’a aidé à prendre une douche (j’étais très faible et je tremblais) et est allé nous chercher à manger et on a regardé un film… à 7h du matin. J’avais constamment froid. J’ai réussi à dormir 1 heure en avant-midi. J’ai appelé une amie massothérapeute qui m’a dis d’aller la rejoindre pour un massage. En tournant le premier coin de rue, j’ai réalisé que je ne pouvais pas conduire. Je fouille alors le web pour savoir ce qui m’arrive. « Il est fortement déconseillé d’arrêter Ativan cold turkey, ça pourrait vous causer beaucoup d’effets secondaires et mener à l’hopitalisation. » Ok, c’est noté. C'est pas comme si j’avais le choix, hein. J’avoue avoir pensé une seconde essayer d’aller trouver le dealer du coin mais c’est pas trop mon truc, mauvaise idée. J’ai ensuite pensé d’acheter le pharmacien, mais j’avais pas envie de m’humilier. J’ai décidé de passer au travers. « De toute façon, c’est pas comme si ça allait durer une semaine » pensais-je naïvement. Jour 2 : Nuit d’insomnie complète encore. Je me sens encore en bad trip. Le mental est hyperactif mais je n’arrive pas a me concentrer sur qqch en particulier. Je me sens un peu moins pire, mais en rien mieux. Je réussi à accomplir quelques tâches à la maison et même aller faire les courses, mais je vois tout comme une montagne et perd courage. Regain d’énergie suivi de chute d’énergie sans prévenir. Les tremblements continuent (quand je parle de tremblement, je veux parler d’un grand tremblement interne, à débit très rapide, qui prend au cœur, au ventre, et se transpose dans les mains). Je n’ai envie de rien faire. Désintérêt pour tout, mais je suis dans un état de stress et d’agitation extrême. Je voudrais réussir à faire quelque chose mais j’ai du mal à y arriver. Je ne dors pas en journée car je me dis que si je m’endure, je pourrai peut-être dormir la nuit et retrouver un cycle normal. Ce n’est pas arrivé. Jour 3 : Nuit d’insomnie complète encore. Je me lève exténuée, à bout d’avoir trop essayé de dormir sans avoir réussis. Un rien me fait pleurer. J’ai une tête cauchemardesque. Avec mon copain, qui me supporte énormément, on en conclut deux choses : je ne dois jamais reprendre d’Ativan de ma vie, et je dois quitter mon travail, origine de mon anxiété, jusqu'à ce que je gère mieux mon stress et que j’aie retrouvé la paix. Je dors 4 heures avec intermittences en avant midi. 4 heures remplies de cauchemars, mais aussi de rêves de (feu) mon grand-père qui me supporte. En après-midi, nous allons à la campagne chez ma belle-mère qui me sert du vin et un repas copieux. Ça me fait du bien. Le soir venu, j’envoie un courriel à ma directrice exprimant ma décision de terminer mon contrat. Je prends un aide-sommeil genre « benadril » sur les conseils d’un pharmacien après m’être confessée. Je me couche satisfaite. Jour 4 : J’ai réussi à dormir 5 heures avec intermittences. Je me lève mais je suis à l’opposée d’être en forme. J’aurais dormi pendant 30 heures facilement, mais j’avais des engagements cette journée-là. Je me prépare un peu maladroitement, oubliant des choses très simples et en étant éparpillé sur 4 tâches en même temps. Au cours de la journée, rien ne va plus. Je me sens en chute de pression ou en hypoglycémie, je ne sais pas trop. Je me sens soudainement comme si j’avais bu 5 Red Bulls. Je mange un Mc Do en catastrophe (resto le plus proche de moi à ce moment-là, oblige) et ça passe. C’est cette journée-là que les crises commencent. Jour 5 : Malheureusement je n’ai pas réussis à retrouver la sérénité de la nuit précédente. Je n’ai pas dormi. Je dors 3 heures en avant midi. Je dois aller travailler pour ma dernière semaine. Ma journée se passe en alternance soleil/crise. Une crise, c’est comme un grand tremblement interne, un grave état de stress sans aucune raison, sans savoir pourquoi. J’ai plus chaud et je su. Juste me lever d’une chaise peut déclencher une crise. Comme je dois garder le contrôle sur moi devant les autres au travail, j’essaie de m’éclipser aux toilettes ou devant une fenêtre pour que ça paraisse moins. Je feins d’avoir une grippe. Les crises, lorsqu’elles arrivent, me paraissent interminables. Cette journée-là j’ai eu environ 10 crises variant entre 5 et 25 minutes. J’ai aussi eu une pensée pour l’Ativan. Je me suis mise à penser que je pourrais peut-être aller en chercher quand je le pourrais, « mais juste un, pour dormir, après c’est tout ». J’ai chassé cette pensé. J’étais juste découragée et sans repères sur quand allait prendre fin le sevrage. Jour 6 : Même chose que jour 5, mais avec un peu moins de crise. (ou environ pareil, mais je sais mieux les gérer) Je ne dors pas plus. Même impression de red bull, mais disons qu’on descend à 3 au lieu de 5. Jour 7 : Avant dernier jour de travail. Cette pensée m’a fait me coucher avec un sourire. J’ai dormi 5 heures avec intermittences. Je me lève et me rend compte au bout d’un moment que je n’ai plus de crises. Un poids entre les omoplates est disparu. Je passe une belle journée jusqu’à ce qu’un évènement me contrarie au travail. Je réalise dès lors que je n’aie plus la patience et la tolérance pour continuer et que ma décision était la bonne. Je dois me reposer. First things first. Jour 8 : Le sevrage semble être terminé. Reste le weekend à passer, quelques heures supp. À la maison, plus qu’un jour de travail. L’insomnie domine encore mes nuits mais je vois la ligne d’arrivée. Je sais que j’y arriverai bientôt. Mon sevrage m’aura pris 7 jours bien comptés. J’espère que je t’ai aidé un peu. Pour soulager les effets du sevrage, arme-toi de citron, gingembre et miel en infusion. Ça aide à calmer un peu et ça prévient d’attraper un virus alors que tes défenses sont au plus bas. Mange de bons repas caloriques et bois de l’eau. Ça va finir par passer. Je n’ai pas ressenti de dépendance psychologique. C’était surtout physique.

Dans les périodes difficiles de stress au travail mélangé à des problèmes de couple. Je n'arrive plus à manger ni à dormir, après 4 jours sans dormir et fatiguée comme jamais, j'ai été voir mon medecin qui m'a prescrit ce medicament. Après la grosse période j'ai arrêté et j'en ai pris 1 occasionnellement. Je suis maintenant à nouveau en état de grand stress dû au travai...lire la suitel que j'ai avec plein de responsabilités et toujours au même problème de couple qui font que je réfléchis beaucoup trop sans arrêt mais il faut que je puisse me reposée. Je le prends en allant dormir et je m'endors dans les 20 minutes. Ce médicament est vraiment bien pour mes problèmes. Dans les périodes difficiles de stress au travail mélangé à des problèmes de couple. Je n'arrive plus à manger ni à dormir, après 4 jours sans dormir et fatiguée comme jamais, j'ai été voir mon medecin qui m'a prescrit ce medicament. Après la grosse période j'ai arrêté et j'en ai pris 1 occasionnellement. Je suis maintenant à nouveau en état de grand stress dû au travail que j'ai avec plein de responsabilités et toujours au même problème de couple qui font que je réfléchis beaucoup trop sans arrêt mais il faut que je puisse me reposée. Je le prends en allant dormir et je m'endors dans les 20 minutes. Ce médicament est vraiment bien pour mes problèmes.

J’en prends tous les soirs depuis plusieurs mois pour des insomnies et crises d’angoisses au coucher qui n’étaient plus supportables. C’est très efficace, je dors d’un sommeil réparateur, légèrement somnolent en début d’après-midi/matin mais bien moins pire qu’en ayant une mauvaise nuit. Par contre l’addiction et l’accoutumance sont un énorme problème. Je ne peux plus m’...lire la suiteen passer. J’ai essayé pendant 3 semaines, résultat plusieurs jours avec des nuits horribles de 3h de sommeil, je tombais fou. J’en prends tous les soirs depuis plusieurs mois pour des insomnies et crises d’angoisses au coucher qui n’étaient plus supportables. C’est très efficace, je dors d’un sommeil réparateur, légèrement somnolent en début d’après-midi/matin mais bien moins pire qu’en ayant une mauvaise nuit. Par contre l’addiction et l’accoutumance sont un énorme problème. Je ne peux plus m’en passer. J’ai essayé pendant 3 semaines, résultat plusieurs jours avec des nuits horribles de 3h de sommeil, je tombais fou.

Médicament assez efficace. Par contre il met un peu de temps avant d'agir ce qui n'est pas top en cas de crise d'angoisse. Sinon l'effet endors pas trop Médicament assez efficace. Par contre il met un peu de temps avant d'agir ce qui n'est pas top en cas de crise d'angoisse. Sinon l'effet endors pas trop

j'ai commencer ce médicament sans l'avis d'un docteur et je l'ai amérement regreter j'ai commencer ce médicament sans l'avis d'un docteur et je l'ai amérement regreter

Bonjour à tous je suis nouveau sur le forum et je me suis inscrit car je rencontre un problème, à l'époque je consommais du cannabis, j'ai commencé en décembre 2013 ensuite j'ai décidé d'arrêter en juin ( toujours 2013) car ma mémoire et ma personnalité avaient pris une sacrée correction, je tremblais et j'étais très nerveux irritable quand je n'avais pas ma dose de shit....lire la suite Le médecin ma prescrit du themesta et du prozac pour arrêter de consommer suite à de gros problèmes avec la justice tout ce que je recherchais était l'apaisement le sport n'était pas assez puissant pour moi j'étais tellement mélancolique nostalgique et triste... Le themesta ( ensuite je suis passé à lorazepam le générique) me détendait fortement en 2013 quand j'en prenait le soir à 22h j'étais très vite dans les bras de Morphée par contre le prozac aucun effet ,bref, tout fonctionnait mais j'appréciais tellement l'effet qu'il m'arrivait de faire des surdosages ensuite l'effet s'est estompé en 2014 j'avais beau me surdoser: aucun effet ducoup j'ai repris le cannabis et j'avais 10x plus de stress et quand je fumais j'avais des pensées morbides. En 2015 j'ai re arrêté le cannabis et j'avais pas pris de lorazepam depuis un sacré bout de temps quand j'en ai repris j'étais détendu léger les muscles très détendu j'avais faim aussi et je dormais très bien je faisais toute les tâches que je me devais de faire sans aucune démotivation, c'était une habitude j'en prenait pour mon travail histoire de ne pas penser et effectuer les tâches tel un robot je travaillais dans les espaces verts et c'était très répétitif mais comme j'étais extrêmement relaxé, les heures passaient très très vite et je travaillais bien même assez vite rien ne pouvait me ralentir grâce à ce médicament j'avais une vie un peu près stable. En juin 2016 j'ai décidé d'arrêter le traitement car je voulais vivre normalement, alors j'ai commencé à vivre les effets secondaires, j'entendais des voix, j'étais paranoïaque, je croyais être le centre du monde de toute méchancetés et moquerie et je croyais qu'on voulait me faire porter le chapeau de crime que je n'avais jamais commis quand les gens ou mes amis parlaient, leur voix ce déformait et j'entendais des insultes ou autres etc... Bref j'avais pété les plombs je devenais fou et je passe les détails comme par exemple envie de meurtre et de suicide l'enfer je vous raconte pas le délire, un jour en juin 2016 j'ai pris un couteau de cuisine et j'ai voulu m'égorger devant ma famille pour qu'ils n'oublient jamais (j'étais barré du système) un membre ma arraché le couteau des mains (le pousse au passage) je voulais vraiment mourir car je souffrais trop et l'effet du lorazepam ne me stabilisant plus car j'ai repris mais le mal était là. Je me suis retrouvé en psychiatrie et on m'a diagnostiqué schizophrène, dépressif et psychotiques. Ils m'ont retiré le lorazepam et l'on remplacé par du zopiclone, effets similaires détente, relâchement de soit, grosse fringale, confiance en soit envie de tout bref tout c'est bien passé jusqu'en novembre 2016 on m'a retiré mon traitement et pour le remplacer par une injection de xeplion quand je suis sortie de l'hôpital tout allait bien plus de délires j'étais stabilisé je prenais mon zopiclone à 21:00 ensuite je me sentais détendu alors je lisais ou j'écrivais ou j'écoutais du piano le tout avec une certaine sensibilité des senses, après ça dodo. En janvier, plus aucune colère en moi etc... J'étais serain mais je rencontre un problème janvier 2017 mon zopiclone ne me fait plus aucun effet alors je suis repartie pour des surdosages mais rien à y faire, aucun effet ducoup je dormais plus et je me sentais déprimé j'avais envie de rien et j'ai même lâché mon taff vue que j'étais très tendu nerveux...je faisais tout de travers maladroitement, je me suis refait prescrire du lorazepam j'avais 60 gélules pour un mois car j'avais expliqué au médecin que les médicaments psychotropes ne faisait plus effet du coup il a pensé à me mettre une dose plus forte deux lorazepam par jour un à 8h l'autre à 18h et là coup de théâtre, je prend un matin il était 6:00 je me souviens 1h plus tard aucun effet j'en reprend un à midi aucun effet et un le soir aucun effet non plus. Depuis janvier 2017 jusqu'à maintenant le lorazepam ne me fait plus effet ni le valium,loxapac etc plus aucun effets je n'ai ressenti il ne me restait plus que mon injection de xeplion j'ai arrêté tout les médicaments en février 2017 mais je ne travaillais plus ne jouait plus aux jeux vidéo ne lisais plus , n'écoutais plus de musique ne dessinais plus n'ecrivais plus etc... je ne savourait plus rien et je suis tombé dans la boulimie mais pas de dépression juste une forte envie de rien et une tristesse un mal-être, ils me reste juste la musculation mais comme je l'ai déjà écrit l'effet sédatif provoqué par le sport n'ai pas assez fort contrairement au lorazepam, alors voilà mon problème j'aimerai pouvoir revivre l'effet du médicament et reprendre une vie avoir envie. Merci à tous ce qui on prit la peine de me lire. Bonne journée Bonjour à tous je suis nouveau sur le forum et je me suis inscrit car je rencontre un problème, à l'époque je consommais du cannabis, j'ai commencé en décembre 2013 ensuite j'ai décidé d'arrêter en juin ( toujours 2013) car ma mémoire et ma personnalité avaient pris une sacrée correction, je tremblais et j'étais très nerveux irritable quand je n'avais pas ma dose de shit. Le médecin ma prescrit du themesta et du prozac pour arrêter de consommer suite à de gros problèmes avec la justice tout ce que je recherchais était l'apaisement le sport n'était pas assez puissant pour moi j'étais tellement mélancolique nostalgique et triste... Le themesta ( ensuite je suis passé à lorazepam le générique) me détendait fortement en 2013 quand j'en prenait le soir à 22h j'étais très vite dans les bras de Morphée par contre le prozac aucun effet ,bref, tout fonctionnait mais j'appréciais tellement l'effet qu'il m'arrivait de faire des surdosages ensuite l'effet s'est estompé en 2014 j'avais beau me surdoser: aucun effet ducoup j'ai repris le cannabis et j'avais 10x plus de stress et quand je fumais j'avais des pensées morbides. En 2015 j'ai re arrêté le cannabis et j'avais pas pris de lorazepam depuis un sacré bout de temps quand j'en ai repris j'étais détendu léger les muscles très détendu j'avais faim aussi et je dormais très bien je faisais toute les tâches que je me devais de faire sans aucune démotivation, c'était une habitude j'en prenait pour mon travail histoire de ne pas penser et effectuer les tâches tel un robot je travaillais dans les espaces verts et c'était très répétitif mais comme j'étais extrêmement relaxé, les heures passaient très très vite et je travaillais bien même assez vite rien ne pouvait me ralentir grâce à ce médicament j'avais une vie un peu près stable. En juin 2016 j'ai décidé d'arrêter le traitement car je voulais vivre normalement, alors j'ai commencé à vivre les effets secondaires, j'entendais des voix, j'étais paranoïaque, je croyais être le centre du monde de toute méchancetés et moquerie et je croyais qu'on voulait me faire porter le chapeau de crime que je n'avais jamais commis quand les gens ou mes amis parlaient, leur voix ce déformait et j'entendais des insultes ou autres etc... Bref j'avais pété les plombs je devenais fou et je passe les détails comme par exemple envie de meurtre et de suicide l'enfer je vous raconte pas le délire, un jour en juin 2016 j'ai pris un couteau de cuisine et j'ai voulu m'égorger devant ma famille pour qu'ils n'oublient jamais (j'étais barré du système) un membre ma arraché le couteau des mains (le pousse au passage) je voulais vraiment mourir car je souffrais trop et l'effet du lorazepam ne me stabilisant plus car j'ai repris mais le mal était là. Je me suis retrouvé en psychiatrie et on m'a diagnostiqué schizophrène, dépressif et psychotiques. Ils m'ont retiré le lorazepam et l'on remplacé par du zopiclone, effets similaires détente, relâchement de soit, grosse fringale, confiance en soit envie de tout bref tout c'est bien passé jusqu'en novembre 2016 on m'a retiré mon traitement et pour le remplacer par une injection de xeplion quand je suis sortie de l'hôpital tout allait bien plus de délires j'étais stabilisé je prenais mon zopiclone à 21:00 ensuite je me sentais détendu alors je lisais ou j'écrivais ou j'écoutais du piano le tout avec une certaine sensibilité des senses, après ça dodo. En janvier, plus aucune colère en moi etc... J'étais serain mais je rencontre un problème janvier 2017 mon zopiclone ne me fait plus aucun effet alors je suis repartie pour des surdosages mais rien à y faire, aucun effet ducoup je dormais plus et je me sentais déprimé j'avais envie de rien et j'ai même lâché mon taff vue que j'étais très tendu nerveux...je faisais tout de travers maladroitement, je me suis refait prescrire du lorazepam j'avais 60 gélules pour un mois car j'avais expliqué au médecin que les médicaments psychotropes ne faisait plus effet du coup il a pensé à me mettre une dose plus forte deux lorazepam par jour un à 8h l'autre à 18h et là coup de théâtre, je prend un matin il était 6:00 je me souviens 1h plus tard aucun effet j'en reprend un à midi aucun effet et un le soir aucun effet non plus. Depuis janvier 2017 jusqu'à maintenant le lorazepam ne me fait plus effet ni le valium,loxapac etc plus aucun effets je n'ai ressenti il ne me restait plus que mon injection de xeplion j'ai arrêté tout les médicaments en février 2017 mais je ne travaillais plus ne jouait plus aux jeux vidéo ne lisais plus , n'écoutais plus de musique ne dessinais plus n'ecrivais plus etc... je ne savourait plus rien et je suis tombé dans la boulimie mais pas de dépression juste une forte envie de rien et une tristesse un mal-être, ils me reste juste la musculation mais comme je l'ai déjà écrit l'effet sédatif provoqué par le sport n'ai pas assez fort contrairement au lorazepam, alors voilà mon problème j'aimerai pouvoir revivre l'effet du médicament et reprendre une vie avoir envie. Merci à tous ce qui on prit la peine de me lire. Bonne journée