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Vous donnez une évaluation à un médicament que vous n'avez pas essayé et dont apparemment vous ne connaissez personne l'ayant fait. Élargie à tout le site, cette méthode doit vous donner beaucoup de travail.

04/01/2014 14:13

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Bonjour, Le baclofène provoque pas de dépendance. Il faut faire attention de ne pas faire un arrêt brutal lorsqu'on veut stopper l'expérience.. Le baclofène permet à l'alcoolique d'avoir un comportement normal avec l'alcool. Il peut très bien déguster une bière Orval le dimanche sans craindre une rechute dès les heures ou jours qui suivent. Nous avons le libre arbitre de la consommation ou pas d'une boisson alcoolisée. Il y a peu de temps j'ai pris une murge pour le plaisir d'être saoul. avec zéro alcool le lendemain et les semaines qui ont suivi cet épisode. Impensable pour un abstinent comme vous. et une torture rien que d'y penser. Avec le baclofène on peut aussi faire le choix de l'abstinence et ce sera sans torture car le craving, les envies, ont disparus. Cordialement, Albéric

04/08/2013 16:41

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Je suis un JH de 25 ans, et je me suis rendu compte de mon alcoolisme très récemment. Je n'en suis heureusement pas arrivé au point de non retour, et j'ai décidé de mettre fin à ma consommation d'alcool pour de bon. Je suis d'accord avec vous sur un point, l'alcool est une maladie incurable, l'alcoolique est en rémission perpétuelle... Par contre, je ne suis pas aussi fataliste que vous. Je suis chercheur, et je pense fermement que l'alcoolisme possède une composante biologique. Comme l'addiction au sucre, sous une forme bien plus complexe et bien plus dévastatrice. Certes la motivation et l'abnégation sont les meilleures armes face à la maladie, mais imaginez qu'un jour l'on puisse aider les personnes atteintes avec un médicament, qui à la bonne dose, permette une indifférence à l'alcool, au moins les premiers mois, voire les premieres années, le temps de remettre les choses en place autour de soi, de retrouver d'autres reperes, d'autres habitudes de vie... Je pense que c'est là que le baclofène pourrait avoir une utilité solvatrice... Maintenant j'attends les résultats des études cliniques, savoir enfin si il s'agit d'un effet placebo, le fait de croire en cette pillule magique qui donnerait aux alcooliques du courage... Mais si au terme de ces études en double aveugle, on observe bien une différence chez les patients sous traitement baclofène, ca sera enfin la preuve que cette maladie est en partie due à un mécanisme biologique, ce qui ouvrira les portes à d'autres études, à une meilleure compréhension de cette condition, et peut être un jour à son traitement, comme l'on traite un cancer ou le sida...

12/06/2013 11:33

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Je suis complètement pessimiste sur le bacloflene ...je n'arrête pas avec les effets secondaires..surtout quand j'augmente la dose d'1/2 pas plus c'est déjà invivable comme ça. Je suis à seulement 8,5 par jour ,ça fait 6 mois que j'ai commencé,je continue l'alcool ,Si seulement j'avais atteint l'indifférence ,mais même pas Les témoignages ici me font rêver...dois je renoncer au baclofène ??? il n'est peut être pas adapté à mon cas.C'est excessivement dur de supporté les effets du balofene jour et nuit et surtout sans résultats...pouvez vous m'aider...merci

27/01/2014 06:42