Sécurité des médicaments et vous

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Expériences avec Nivaquine

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Nivaquine

chloroquine

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Lupus (3 avis)
Rhumatisme (1 avis)
Malaria - paludisme (0 avis)
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Nivaquine

17/12/2010 | Homme
chloroquine
Rhumatisme psoriasique
Efficacité
Quantité effets secondaires
Utilisé en traitement de fond contre le rhumatisme psoriasique pendant plus de 20 ans m'a provoqué une polyradiculonévrite sevère des membres inferieurs et supèrieurs avec destruction de la myeline. Résultat: dificultés pour se lever , marcher défaut d'équilibre ..etc J'aimerai savoir combien de malades sont dans mon cas. Merci
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Nivaquine

18/06/2015 | Femme | 39
chloroquine (300)
Lupus
Efficacité
Quantité effets secondaires
Voici la raison de la création de cette page. Aimez un MAXIMUM la page https://www.facebook.com/retinopathie.toxique.APS pour informer les personnes dans ma situation ou celles qui vont l’être ! 1996, on me décèle un Lupus Erythémateux Chronique (maladie auto-immune). Cette pathologie est traitée par plusieurs traitements médicamenteux dont les Antipaludéens de Synthèses...lire la suite (APS). Un peu d’histoire : Les APS furent mises au point par les allemands parallèlement à la 1ere guère mondiale pour pallier la pénurie de quinine (1ere utilisation de la quinine en 1639). La quinine a été utilisée la 1ere fois pour traiter un lupus discoïde en 1894 par Payres. Ce n’est qu’en 1951 que Page recommande les APS dans cette pathologie. Comme tout médicament il a des effets secondaires. La rétinopathie ou plus précisément la Maculopathie en œil de bœuf [scotomes (taches aveugles) annulaires paracentraux (autour du centre)] est la complication la plus redoutée puisqu’elle peut mener à la cécité et est irréversible. 1996, on me met au courant que le médicament peut avoir un effet secondaire sur la rétine (atteinte centrale et on me prescrit donc des APS (Nivaquine) après des examens ophtalmologiques minutieux qui ne montrent aucune contre indication à la prise du médicament car à la moindre anomalie le traitement n’est pas prescrit ou interompu (stade preclinique). Traitement au long cours, il est impératif d’avoir une surveillance ophtalmologique annuelle, ce que je fais méticuleusement toutes les années suivantes. Les examens sont sans anomalies jusqu’en 2011 d’après l’ophtalmologue qui me suit. 2008, 31 octobre, 19h, sortie du travail, pluie, 40 km/h, je renverse une personne sur un passage piéton, par chance cette personne n’a rien eu de grave. L’INCOMPREHENSION totale. Je suis d’une vigilance démesurée et là je n’ai pas eu le temps de comprendre ce qui s’est passé, cette personne s’est retrouvée d’un coup devant ma voiture comme tombée du ciel. Pourtant je n’ai aucune gène visuelle et tous les examens ophtalmo sont sans anomalies. Fin 2010, je commence à ressentir une gêne, telle que la lumière trop vive et des éblouissements constants. 2011 Février/Mars, je ne trouve plus la flèche de la souris sur mon écran d’ordinateur. Je commence à faire des tests moi-même en fixant un point sur mon écran, je bouge la souris autour de ce point. A ce moment-là, je constate que la flèche disparait et réapparait plus loin et cela tout autour du point de fixation sauf en bas. 2011 Avril, j’appelle en urgence le service ophtalmologie de l’hôpital qui me suit depuis 1996. J’explique à mon ophtalmologue ce que je viens de découvrir. Il me fait refaire tous les examens habituels et me dit qu’il n’y a rien et me demande si je suis fatiguée. J’insiste et lui demande pour l’arrêt de la Nivaquine. Il me répond qu’il n’y a rien et que je peux continuer à prendre mon traitement. Je lui dis que non et que je décide de l’arrêter. Au vue de mon insistance, il me programme un RDV pour faire une angiographie. Et là, il admet enfin qu’effectivement j’ai une atteinte rétinienne. Je lui dis que j’aimerais consulter ailleurs et il m’envoie aux CHNO 15/20 à Paris (Centre Hospitalier National d'Ophtalmologie des Quinze-Vingts). 2011, Juin, Paris, CHNO 15/20, 14h. On me confirme une belle Intoxication rétinienne due aux APS qui, d’après sa taille, serait là depuis bien longtemps. Entre temps je récupère mon dossier médical d’ophtalmologie. Le CHNO 15/20 m’envoie consulter un spécialiste de la rétine sur Nancy qui confirmera lui aussi l’Intoxication. Celui-ci jettera un œil à mon dossier sans trop vouloir s’impliquer, et décèlera des anomalies déjà présentent en 2005/2006. J’ai pu enfin avoir une explication de ce qui s’était passé le jour de l’accident en 2008. 2012, je découvre par hasard que mon champ visuel périphérique est rétréci. Je retourne directement consulter le specialiste de la rétine de Nancy qui me refait la batterie d’examens. Effectivement il y a un rétrécissement de la périphérie en plus de l’atteinte centrale mais il ne connait aucune pathologie qui donne ces résultats aux examens. Il me dit que ce n’est pas dû à la prise d’APS ni lié à la Maculopathie en œil de bœuf. Je m’inquiète d’être atteinte d’une pathologie inconnue et lui demande conseil pour consulter ailleurs en France. Voici sa réponse : « Qu’est ce que vous voulez que je vous dise ! Si vous voulez allez consulter ailleurs, allez-y ! » Je rentre chez moi dépitée, inquiète. Je retourne voir mon médecin généraliste qui me renvoie au CHNO 15/20 à Paris. 2013, Octobre, Paris, Centre d’Electrophysiologie du CHNO 15/20. Après de multiples examens plus poussés que les précédents, on me confirme que l’atteinte périphérique serait liée à l’intoxication. Je dois les revoir dans un an pour confirmation. 2014, Octobre, Paris, Centre d’Electrophysiologie du CHNO 15/20, 13h30. Confirmation que l’atteinte périphérique est bien liée à l’intoxication aux APS. Je dois les revoir dans un an pour surveiller l’évolution. On m’informe qu’ils n’ont que 4 cas dans leur service. 2014, 15 octobre, 10h, j’étais au courant de la possibilité d’une atteinte du champ visuel central due à une intoxication aux APS. Il fallait avoir un suivi ophtalmologique, ce que j’ai fait depuis 1996 en demandant systématiquement après tous les contrôles annuels s’il n’y avait aucune anomalie. On m’a prescrit un médicament dont ils n’étaient pas au courant de TOUS les effets secondaires. CONCLUSION : Je suis reconnue travailleur handicapé par la MDPH. Je n’ai plus d’emploi et suis en reconversion professionnelle. Reconversion difficile car dans quel métier n’a t’on pas besoin de ses yeux ? On me prescrit (lunettes de soleil avec verres filtrants, compléments alimentaire, etc.) qui bien sûr ne sont pas remboursés par la CPAM. Je dois payer mes transports avec accompagnateur sur Paris qui seront seulement remboursés par la suite. L’affaire est suivie par mon avocat qui m’a prévenu que je risquais de perdre mon permis de conduire. Je me cogne partout suite au rétrécissement de la périphérie. Des objets ou personnes sont constamment dans les zones aveugles. Je ne peux me déplacer la nuit. Beaucoup de métiers me sont interdits. Je ne prends plus de traitement pour mon lupus par peur des effets secondaires. Etc. etc. etc. Expertise médicale judiciaire le 05/12/2014. Il est impératif et urgent que les ophtalmologues qui suivent des patients traités sous APS soient plus rigoureux sur le suivi ou qu’ils envoient leurs patients dans des centres spécialisés s’ils n’en sont pas capable ! Il est urgent de changer le protocole de surveillance ophtalmologique. D’avertir tous les patients sous APS qui ne sont actuellement toujours pas ou mal suivis par les ophtalmologues. Etre suivie dans un centre d’ELECTROPHYSIOLOGIE si possible. Merci de diffuser un maximum ce message. Térésa
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Nivaquine

14/04/2017 | Femme | 41
chloroquine (100mg)
Lupus
Efficacité
Quantité effets secondaires
1996 : On me décèle un Lupus Erythémateux Chronique (maladie auto-immune). Cette pathologie est traitée par plusieurs traitements médicamenteux dont les Antipaludéens de Synthèses (APS). 1997 : On me met au courant que le médicament peut avoir un effet secondaire sur la rétine (atteinte centrale et on me prescrit donc des APS (Nivaquine) après des examens ophtalmolog...lire la suiteiques minutieux qui ne montrent aucune contre indication à la prise du médicament car à la moindre anomalie le traitement n’est pas prescrit ou interompu (stade preclinique). Traitement au long cours, il est impératif d’avoir une surveillance ophtalmologique annuelle, ce que je fais méticuleusement toutes les années suivantes. Les examens sont sans anomalies jusqu’en 2011 d’après l’ophtalmologue qui me suit. 2008, 31 octobre, 19h, Hettange Grande, sortie du travail, pluie, 40 km/h : Je renverse une personne sur un passage piéton, par chance cette personne n’a rien eu de grave. L’INCOMPREHENSION totale. Je suis d’une vigilance démesurée et là je n’ai pas eu le temps de comprendre ce qui s’est passé, cette personne s’est retrouvée d’un coup devant ma voiture comme tombée du ciel. Pourtant je n’ai aucune gène visuelle et tous les examens ophtalmo sont sans anomalies. Fin 2010, Thionville : Je commence à ressentir une gêne, telle que la lumière trop vive et des éblouissements constants . 2011, Février/Mars, Thionville : Je ne trouve plus la flèche de la souris sur mon écran d’ordinateur. Je commence à faire des tests moi-même en fixant un point sur mon écran, je bouge la souris autour de ce point. A ce moment-là, je constate que la flèche disparait et réapparait plus loin et cela tout autour du point de fixation sauf en bas. 2011 Avril, Thionville : J’appelle en urgence le service ophtalmologie de l’hôpital qui me suit depuis 1996. J’explique à mon ophtalmologue ce que je viens de découvrir. Il me fait refaire tous les examens habituels et me dit qu’il n’y a rien et me demande si je suis fatiguée. J’insiste et lui demande pour l’arrêt de la Nivaquine. il me programme un RDV pour faire une angiographie un mois plus tard. 2011, 16 Juin, Thionville : Quand l’angiographie révèle enfin l’atteinte je suis anéantie. Ma vue était mon sens le plus précieux j’avais une précision et une rapidité de perception très performante. Je lui demande si je peux continuer à conduire mon véhicule et il me répond que cette pathologie n’a aucune incidence sur mon permis de conduire. Je lui dis que j’aimerais consulter ailleurs et il m’envoie aux CHNO 15/20 à Paris. 2012, Mars, Paris, CHNO 15/20, 14h : On me confirme une belle Intoxication rétinienne due aux APS qui, d’après sa taille, serait là depuis bien longtemps. Entre temps je récupère mon dossier médical d’ophtalmologie. Le CHNO 15/20 m’envoie consulter un spécialiste de la rétine sur Nancy qui confirmera lui aussi l’Intoxication. Celui-ci jettera un œil à mon dossier sans trop vouloir s’impliquer, et décèlera des anomalies déjà présentent en 2005/2006. J’ai pu enfin avoir comprendre ce qui s’était passé le jour de l’accident en 2008. 2012, Septembre, Thionville : Je découvre par hasard que mon champ visuel périphérique est rétréci. Je retourne directement consulter le specialiste de la rétine de Nancy qui me refait la batterie d’examens. Effectivement il y a un rétrécissement de la périphérie en plus de l’atteinte centrale mais il ne connait aucune pathologie qui donne ces résultats aux examens et me dit que ce n’est pas dû à la prise d’APS ni lié à la Maculopathie en œil de bœuf. Je m’inquiète d’être atteinte d’une pathologie inconnue et lui demande conseil pour consulter ailleurs en France ou même à l’étranger. Voici sa réponse : « Que voulez-vous que je vous dise. Si vous voulez allez consulter ailleurs, allez-y» Je rentre chez moi dépitée, inquiète. Je retourne voir mon médecin généraliste qui me renvoie au CHNO 15/20 à Paris. 2013, Octobre, Paris, Centre d’Electrophysiologie du CHNO 15/20 : Après de multiples examens plus poussés que les précédents, on me confirme que l’atteinte périphérique serait liée à l’intoxication. Je dois les revoir dans un an pour confirmation. 2014, Octobre, Paris, Centre d’Electrophysiologie du CHNO 15/20, 13h30 : Confirmation que l’atteinte périphérique est bien liée à l’intoxication aux APS, découverte d’un début de cataracte aux deux yeux. Je dois les revoir dans un an pour surveiller l’évolution. On m’informe qu’ils n’ont que 4 cas dans leur service. 2014, 15 octobre, Vandoeuvre les Nancy, 10h : J’étais au courant de la possibilité d’une atteinte du champ visuel central due à une intoxication aux APS. Il fallait avoir un suivi ophtalmologique, ce que j’ai fait depuis 1996 en demandant systématiquement après les contrôles annuels s’il n’y avait aucune anomalie avec des réponses toujours positives. CONCLUSION : • J’ai 40 ans, je suis reconnue travailleur handicapé par la MDPH avec des taux d’handicap qui varient d’un département à l’autre (?). • J’étais atteinte d’un simple Lupus cutané sans complications et me retrouve avec un handicap visuel. • J’ai dû quitter mon emploi et suis en reconversion professionnelle (Gestion Administration) dans un établissement adapté aux personnes en situation de handicap sans poste adapté ni aucune aide technique proposée • On me prescrit (lunettes de soleil avec verres filtrants, compléments alimentaire, etc.) qui bien sûr ne sont pas remboursés par la CPAM. • Je dois payer mes transports avec accompagnateur sur Paris qui seront seulement remboursés par la suite. • L’affaire est suivie par mon avocat qui m’a prévenu que je risquais de perdre mon permis de conduire. J’ai eu confirmation de l’incompatibilité de la pathologie avec la conduite automobile. • La gène est constamment présente, gérable ou non suivant la situation. • Lectrice assidue, je ressens d’énormes difficultés à la lecture. Celle-ci est ralentie. • Si l’éclairage est trop faible je ne vois rien, s’il est trop fort je suis éblouie. Je ne peux plus me déplacer la nuit. • Je ne vois plus mon visage entièrement dans un miroir, ni celui des personnes avec qui je discute (très déconcertant). • Dans la rue, me heurte constamment aux passants ou autres objets dû au rétrécissement de la périphérie. Me déplacer seule dans un lieu avec beaucoup d’obstacles m’est difficile. • Des objets ou personnes sont constamment dans les zones aveugles, centrale ou périphérique. • Beaucoup de métiers me sont interdits. • Je ne prends plus de traitement pour mon lupus par peur des effets secondaires. Etc. etc. etc. La cécité me guette-t-elle ? Il est impératif et urgent que les ophtalmologues qui suivent des patients traités sous APS soient plus rigoureux sur le suivi ou qu’ils envoient leurs patients dans des centres spécialisés. Il est urgent de changer le protocole de surveillance ophtalmologique pour le suivi des patients sous APS au long cours. Les APS sont primordiaux dans le traitement de certaines pathologies mais le suivi ophtalmologique l’est tout autant. Certes l’erreur est humaine mais on apprend aussi des erreurs que l’on commet. J’espère sincèrement que celle-ci servira au corps médical sur le fait que les patients ne sont pas des objets et que la médecine est un travail de collaboration entre le médecin et le patient.
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Nivaquine

22/06/2015 | Femme | 55
chloroquine (100mg)
Lupus
Efficacité
Quantité effets secondaires
Effets secondaires identiques au Plaquénil pour ma part: acouphénes, début de surdité et vertiges
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